Avec Mathilde, tout est possible, il n'y a plus de frontière, plus de limite… Parce qu'elle vit intensément et simplement à fois.
Sa vision ? Une communication minimaliste pour transmettre l'essentiel.
C'est comme ça qu'elle a créé son activité : au service de sa vie ! (… et ça, ça n'a pas de prix)
Je lui laisse la parole pour qu'elle te partage son parcours et qu'elle raconte comment elle a fait de la simplicité la clé de sa réussite !
PAR MATHILDE FRACHON
Je me souviens quand j’étais en école d’art, j’écoutais attentivement tous les cours d’éco gestion parce que je savais que pour devenir freelance un jour, je devrais y passer. Mais c’était tellement compliqué et ennuyant, que je n’arrivais pas à m’impliquer.
Alors même si l'idée de devenir freelance était une évidence, je ne me sentais pas d’assumer la charge administrative qui allait avec. J'étais littéralement freinée par ma phobie administrative.
Et quand j’y réfléchis aujourd’hui, je crois que c’était une excuse. Car le vrai problème était plutôt au niveau de ma confiance en moi et ma légitimité. Car peu importe si c’était pour trouver un emploi salarié ou créer une entreprise, je ne me sentais pas à la hauteur.
La seule chose que je savais c’est que je ne voulais pas me retrouver “bloquée” dans un emploi. Je voulais découvrir le monde, grandir et m’enrichir de nouvelles rencontres.
C’est comme ça que je me suis d’abord retrouvée salariée, serveuse, au Danemark.
C’est à travers une expérience de vie de 5 ans au Danemark que l’idée d’entreprendre est (re)venue. Et à force de discuter avec les clients — dont de nombreux entrepreneurs — dans le restaurant français où je bossais comme serveuse, j'ai découvert leurs besoins : un site web, une com’ qui tient la route, des réseaux sociaux, etc…
J’ai donc commencé le freelancing au Danemark, en parallèle de mes études, avec des petits contrats ici et là et au fur et mesure de mes rencontres. Et là-bas, contrairement à la France, c’est très facile administrativement parlant.
Au tout début du freelancing, j’ai fait face à un vrai blocage : le démarchage.
Pourtant, j’ai tout essayé : les salons de networking, les afterworks etc… Rien à faire : je détestais toujours cet aspect du business, et ça se ressentait !
Finalement, je vendais quand je discutais naturellement de mon métier avec des personnes rencontrées au restaurant.
Malheureusement, au Danemark, je n’avais personne à qui parler de mon quotidien et de mes problématiques de freelance.
En plus, ma famille ne comprenait pas pourquoi j’avais fait ce choix, au lieu de devenir salariée dans mon secteur d’activité.
Alors que pour moi, être serveuse était bien plus enrichissant, car j’étais au contact des gens, et j’apprenais à communiquer, à vendre aussi, bien plus que dans un bureau, planquée derrière mon Mac.
Toujours au Danemark, j’ai eu la chance d’être accompagnée par Günnar (Merci ! 🙏), un coach en création d’entreprise avec une approche bienveillante du marketing.
Mon projet était vraiment à l’inverse de ce qu’on peut proposer de façon classique en formation business : vivre en camion, voyager et travailler comme digital nomade… Je voulais pouvoir travailler max 20h/semaine et SURTOUT PAS m’enfermer avec un business modèle dont je serais l’esclave ni chercher un développement rapide et la croissance à tout prix.
Grâce à Günnar, j’ai cru en mon projet d’une entreprise slow, au service de mes objectifs de vie.
Cette mission a eu des côtés positifs : j’ai pratiqué le métier que j’aime, et pris confiance en moi en tant que professionnelle (et j’ai enfin pu avoir un retour concret sur mon travail !).
Et des côtés négatifs aussi : c’était un peu du salariat déguisé, et cette situation me frustrait. Parce qu’à travers l’entrepreneuriat, je cherchais plutôt à avoir un pouvoir décisionnel et stratégique, et pas juste à être graphiste.
Mais je tenais bon, car mon cerveau était accaparé par d’autres projets : l’achat d’un camion et mon retour en France, pour la construction de mon projet de vie.
Je rêvais d’une vie nomade, un mode de vie ouvert vers le monde, riche de rencontres, de découvertes et d’apprentissages en continu. Un retour à l’essentiel, en somme.
Une fois rentrée en France et mon camion acheté, j’avais beaucoup plus de temps et d’espace dans mon esprit pour me focaliser sur la réalisation de mon projet professionnel.
Je savais que je voulais être libre de travailler en voyageant, alors il était temps pour moi de trouver les réponses à ces questions : comment trouver des clients plus régulièrement — et surtout des clients que j’aime ?
J’avais beau avoir tout un background en marketing, j’avoue n’avoir ABSOLUMENT PAS pensé appliquer ces connaissances à mon business ! C’est fou quand même ! 3 ans que je faisais des plans de com’ et travaillais sur le client idéal, mais alors pour moi ? Ça ne m’a pas traversé l’esprit !
J’ai démarré l’accompagnement avec pour objectif d’être cheffe d’entreprise et non graphiste à son compte !
J’avais besoin d’un coup de pouce pour m'aider à gagner en estime et en confiance pour lever certains blocages.
Quand j’ai démarré, je me sentais soulagée et confiante.
Mon plus gros challenge était de trouver ce que j’avais d’unique à proposer. J’ai donc attaqué l’étape 1 avec une grande excitation et l’envie de lâcher prise. Je savais que si j’étais dans le contrôle, mes blocages m'empêcheraient d’avancer. Je m’en suis donc totalement remise à Marlène et à ses exercices.
Pendant cette première étape du programme, j’ai vécu 2 gros temps forts : le premier rendez-vous avec Marlène — que j’ai attendu avec impatience ! —, et la découverte de mon pourquoi.
Ça a fait un énorme “boom” dans ma tête parce que TOUT s’est relié : toute ma vie, toutes mes croyances, toute ma réflexion, ma façon de voir les choses, mon comportement avec les autres, TOUT.
Après avoir terminé l’introspection, le travail s’est corsé lorsqu’il a fallu réfléchir à mon offre. Mais une phrase de Marlène a tout débloqué : “Cherche dans les outils UX que tu as appris.”
J’ai compris plusieurs choses : à quel point je voulais faire de la stratégie. Ce qui me plaisait dans l’UX c’était l’empathie et comment on peut toujours s’adapter aux autres. En fait, c’est ce que j’avais toujours voulu faire ! (Quand j’étais petite, j’étais fascinée par l’ergonomie et passionnée de psychologie.)
C’est là que j’ai commencé à vraiment me détacher de mon métier et à relier toutes mes compétences à ce que j’aime faire : et en un après-midi le plan de mon offre était créé.
Le reste de l’accompagnement a été assez facile pour moi. Car une fois cette porte ouverte, j’ai vu dans quelle direction aller, et j’ai foncé tout droit.
La dernière partie du programme, c’était justement ce que j’aimais faire dans mon métier : la stratégie, le plan de com, connaître et comprendre ma cible… un vrai régal !
J’ai adoré rencontrer d’autres entrepreneurs pour comprendre leur expérience et co-construire mon offre avec eux.
Et j’ai d’autant plus apprécié le fait que je puisse avoir un retour direct sur ma stratégie et ma recherche ! J’ai un peu de mal à synthétiser et trouver les bons mots parfois alors avoir la possibilité de travailler en étant entourée était un vrai plus !
À chaque doute, j’avais Marlène, le Workgroup du programme, et mon quatuor de choc. Avoir la possibilité de prendre du recul sur mon travail et m’offrir d’autres perspectives m’ont vraiment permis d'être encore plus pertinente, efficace et d’ancrer les choses durablement dans mon entreprise.
Quand je parlais de ma vision de la com’ en prenant position sur le marketing, sur ce qui me pesait et sur ma manière de procéder. Quand ils me disaient partager mon ressenti et ma vision, et que je leur expliquais qu’on pouvait faire différemment.
Ça a été assez incroyable comme boost de confiance !
Pour la première fois, j'expérimentais ce que c’était qu'être en phase avec son client idéal.
En redéfinissant les lignes de mon métier, je me suis rendu compte que j’aimais le design pour d’autres raisons, quelque chose de plus profond : le rapport à l’autre.
Et quand j’ai relié ça à d’autres aspects de ma vie — mon travail de serveuse, mes rêves d’enfant (je voulais être maîtresse !) —, j’ai compris que je pouvais créer une activité qui me ressemblait à 100%.
Encore un déclic incroyable !
Grâce à mes connaissances, j'ai créé un atelier simple, ludique et essentiel, au lieu d’une formation complexe qui perde mes clients dans des détails inutiles.
Je pourrais en parler pendant des heures, car la simplicité est pour moi la clé pour communiquer et développer son entreprise sereinement et efficacement. Je pense aussi que si on raisonnait tous comme ça, la communication et le marketing seraient mieux perçus. Bref ça touche beaucoup de sujets importants pour moi…
Son objectif ? Construire un fil rouge qui sera la base de la communication et servira de boussole à chaque nouvelle idée, étape ou objectif du développement d’une entreprise. C’est un espace de coworking où j’accompagne mes clientes à poser les bases afin qu’elles puissent communiquer naturellement, simplement et efficacement.
Mais c’est aussi un outil qu’elles peuvent réutiliser pour créer chaque nouveau support de communication. Une page de vente à écrire, une nouvelle offre ou un nouveau freebie… Elles peuvent reprendre l’atelier, avec pour objectif de communiquer sur ce nouveau produit sans se perdre ni s’éparpiller. Et si elles doutent, je suis toujours là pour les conseiller et leur apporter mon expérience et mon expertise via l’espace de coworking.
Je n’ai pas participé au challenge “créa, mais pas que” alors que j’en avais envie et que j’adorais l’idée. Je ne pensais rien avoir de différent à offrir et j’avais peur de m’exposer au grand public et d’être comparée à d’autres.
J’ai dû travailler mon mindset en profondeur pour lever mes blocages.
Il a provoqué un nouveau déclic, et j’ai lancé dans la foulée une page Instagram pour parler de Com minimaliste, de slow business, de mon mode de vie nomade… Tout devient tellement fluide quand on prend conscience du message fort qu’on souhaite porter au monde !
Et j’ai reçu tellement de retours positifs et encourageants, que ça m’a poussé à être vraie, à lâcher prise, et à être encore plus tranchée sur la représentation de qui je suis pour affirmer ma singularité.
C’est une développeuse web qui vulgarise le code via son compte Instagram.
Un jour, elle a répondu à une de mes stories, qui parlait de mon offre, car elle était intriguée par le concept.
Et hop elle est devenue ma cliente test 🙂 J’ai construit le contenu de l’atelier en direct pendant que je l’accompagnais et c’était génial ! Elle a retravaillé tout son discours, et a même décroché un contrat pendant l’accompagnement.
Il m’arrive encore de stresser et de galérer un peu, mais je sais que c’est parce que je démarre et que ma visibilité est encore faible. Je ne veux pas forcer les gens, quand je sens que ce n’est pas le moment. Mais parfois, je pense que ça me porte encore préjudice.
En 1 an, j’en suis déjà à 9 clientes accompagnées !
En septembre, j’ai rempli mes places en une semaine et j'accompagne en ce moment même un groupe de quatre entrepreneures.
Aujourd’hui, ça me semble évident, car je le vis à travers ma vie de nomade minimaliste. Mais en fait, j’ai toujours eu cet état d’esprit. Dans ma vie perso, mais aussi dans mon travail.
Je ressens régulièrement le besoin de faire une pause et de prendre de la hauteur pour faire le tri et me débarrasser du superflu. Un peu comme si mon esprit était une forêt, et que j’alternais les moments où j’avance sur le chemin, et d’autres où j’observe depuis à la cime d’un arbre.
Ma vision de la com’ est identique : prendre le temps de poser pour tisser un fil rouge clair et cohérent entre nous et nos clients. Je crois en l’alternance de moments d’ouverture, de prise de hauteur, d’écoute et d’observation, pour faire le tri, les bons choix et créer le lien.
Je ne crois pas en une communication horizontale, éparpillée sur plusieurs médias. Mais plutôt en une communication minimaliste, avec une intention durable où chaque chose est pensée comme faisant partie d’un tout. C’est pour moi une façon de communiquer qui respecte le rythme du client (puisqu’elle s’oppose au marketing abusif, à la prospection froide ou à l’outbound marketing), respecte notre temps puisqu’elle nous permet de concentrer nos efforts et notre énergie sur les choses essentielles à notre objectif, et respecte notre planète, car elle permet de communiquer en conscience et ne pas surcharger le web d’information. Communiquer moins, mais mieux.
Car il fait écho à tout dans mon entreprise : ma façon de voir la com’, ce que je défends, mon engagement, et aussi mon mode de vie slow et simple !
Et pour mes clients, le pendant c’est de les amener à se concentrer sur l’essentiel : en s’organisant pour que ça leur prenne moins de temps, tout en étant plus pertinent.
J’adore ce que je fais, et mon atelier ne cesse de grandir. Ce que je pensais être une offre d’appel est en train de devenir beaucoup plus.
J’ai une grande ambition pour cette offre, je suis en train de la développer en evergreen, sans accompagnement, et de repenser un nouveau lead magnet. Mon focus 2023 va aussi être de m’entourer d’autres entrepreneurs en tant qu’intervenants sur des sujets dont je n’ai pas l’expertise… Bref ça murit !
Je manque juste de temps pour développer tout ce que j’imagine !
Donc on peut dire que l’objectif est atteint. 😊 Je vis de mon activité et je prends du temps pour moi et mes voyages de temps en temps (beaucoup de travail lors des lancements de l’atelier entre septembre et février, mais 25 h max par semaine le reste du temps).
J’ai encore beaucoup de choses à faire évoluer pour atteindre mes objectifs financiers et toutes mes ambitions, mais je prends les choses comme elles viennent. Je vois déjà une grande évolution et j’ai encore une belle marge de progression : c’est hyper enthousiasmant !
Ce printemps j’aimerais enfin créer mon site, et améliorer mon tunnel de vente pour automatiser un peu mieux les choses. En gros passer tout ce que j’ai testé cette première année à l’étape supérieure ! Et puis respirer un peu avant le prochain lancement pour la session automne 2023 !
C’est très puissant !
Avant je me sentais seule avec ma vision d’une com’ plus slow et maintenant elle résonne.
Si j’avais un conseil à donner, c’est de ne pas trop se laisser emporter par le temps et l’éparpillement. Car l’accompagnement est long, et il est facile de se perdre dans ses doutes.
Il vaut mieux demander de l’aide pour avancer et passer à l’étape suivante sans se bloquer sur un détail. Si ça ne vient pas maintenant, ça viendra plus tard !
Et s’accrocher jusqu’à la fin de l’étape 3 parce que le plan de Com c’est tout autant important que la création de l’offre (mais bon vu mon propre positionnement, c’est normal que je conseille ça.) 😉
Plonge dans l’univers de Mathilde…
Son atelier "Keep it simple" :
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Instagram : @mathildefrachondigitaldesign
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Avec Morgane, "ça passe ou ça casse".
Car s'il y'a bien une chose dont elle n'a pas peur, c'est de déplaire.
Et c'est justement ce que j'adore : son caractère franc, bien trempé… et complètement assumé.
Alors, tu t'en doutes, il était primordial que son positionnement traduise la force de sa personnalité. C'est chose faite, et à son image : sans demi-mesure.
Je la laisse t'en parler dans cet article. Sans langue de bois.
PAR MORGANE TUBIANA
J’ai toujours aimé faire les choses par moi-même et bosser en solo. J’avais juste peur jusque là.
Mon père a beaucoup influencé ma façon de penser à ce sujet. Parti de rien, il a grandi dans la pauvreté dans une famille de 8 enfants. Il s’est construit lui-même de A à Z. C’est un modèle d’accomplissement de soi à mes yeux. Il n’a jamais fait semblant, et moi je ne veux plus le faire non plus.
C’est ce qu’on m’avait toujours répété. Alors j’ai commencé par bosser en CDI dans un grand groupe, puis en start-up, puis en agence de com’. Sauf que ça ne marchait pas pour moi.
Je n’avais pas envie d’avoir un boss, tout comme je n’avais plus envie d’avoir des horaires rigides. Et puis, je n'adhérais pas du tout à la culture dégueulasse des agences de com’ et de pub parisiennes.
Je crois que j’ai toujours été un peu sauvage et surtout que j’ai toujours eu horreur de respecter les règles. Inadaptée, voilà ce que je suis. Inadaptée au modèle scolaire traditionnel où l’on te dit quoi faire, et inadaptée au monde de l’entreprise et à ses manières corporate.
Mon but à l’époque était simple : je voulais être libre. Je suis une personne franche (no bullshit), et j’avais envie que ma boîte soit en accord avec qui je suis.
Mais surtout, je voulais réaliser quelque chose qui a du sens.
Avec une ancienne collègue de travail, on a monté le premier studio spécialisé en identité de marque pour les startups. On était convaincues qu'en associant la bonne stratégie et le bon design, avec les bons mots, on pouvait créer des marques qui dépotent.
Mes débuts dans l’activité ont été un peu compliqués. Avec mon associée, on n’avait aucun réseau et tout à apprendre sur l’entrepreneuriat et la prospection.
1 an et demi passe. Notre CA n’est pas mirobolant, et en plus, ça ne colle plus entre nous. Elle m’abandonne trois semaines après le décès de mon père. Mais comme il le disait lui-même, “Après l’obscurité, vient le soleil”. La vie doit continuer.
C’est à ce moment-là que j'ai décidé de me lancer en solo. Sauf que j’étais complètement paumée.
Honnêtement, c’était une période hyper difficile. Il fallait gérer le deuil de mon père, la fermeture de ma boîte, la séparation avec mon associée, et la création d’une nouvelle offre.
C’était plus ou moins l’inconnu, mais je n’avais plus peur. J’allais enfin faire ce que j’ai toujours voulu : bosser en solo et être libre.
Sauf que c’est plus facile à trouver pour les autres que pour soi-même.
Et mon positionnement n’était pas assez clair et mon offre non plus. Il fallait tout reprendre du début. Je ne vivais pas encore de mon activité, mais j’étais hyper motivée à l’idée de tout refaire moi-même.
Du coup, je me suis dit que j’allais aller discuter avec d’autres freelances qui font le même taf que moi afin de recueillir leur expérience. Et je suis tombée sur une nana avec un positionnement hyper particulier…
Elle, c’est Mathilda Perrot. Et dès nos premiers échanges, ce fut le coup de foudre amical ! C’est une nana franche, directe et drôle. Elle m’a raconté un peu où elle en était de son business et de comment elle en était arrivée là. Je lui ai expliqué à mon tour mon parcours et comment je galérais avec mon positionnement et mon offre.
Je savais que je faisais du bon taf, mais ce qui me différenciait réellement je n’en savais rien.
En plus de ça, je ne me sentais pas spécialement en accord avec mes clients. Ils aimaient les design lisses et aseptisés à la Aircall, tout ce que je déteste. Moi, j’aime les choses intenses, bold, avec du caractère, assumées et hyper chiadées !
Mathilda m’a dit qu’elle suivait un accompagnement qui avait changé sa vie de solopreneure.
Avant, elle galérait sur les mêmes points que moi, et grâce à cet accompagnement, elle avait déjà doublé son CA ! et en plus de ça, elle avait un business totalement en accord avec elle-même.
Je l’ai donc contactée pour suivre le programme “Moi d’abord”. C’était le moment d’investir sur moi-même et surtout d’accepter le fait que parfois on a besoin d’être accompagné !
À partir du moment où j’ai décidé d’intégrer le programme de Marlène, j’étais déterminée à avancer et hyper excitée.
Pour moi, c’était clairement un nouveau départ. À la fin du programme, je devais avoir trouvé mon positionnement et construit un business et une offre viables.
Je n’avais plus envie de faire de concession, je voulais juste kiffer mon entrepreneuriat.
Alors même si j’avais un peu d’appréhension à l’idée d’y arriver, je sentais que ça allait changer ma vie dans le bon sens.
Ça, c’était vraiment un moment incroyable !
Ce “Moi d’abord”, ça sonnait un peu comme un truc bullshit au début pour moi. Sauf que quand je prends du recul et que je me rends compte que j’ai construit une offre en accord avec ma personnalité, avec mes contraintes et en fonction de mes envies, le “Moi d’abord” prend finalement tout son sens.
Finalement, mon positionnement découle de qui je suis, et de ce qui me tient à cœur. Et les gens qui se reconnaissent dedans se rallient à moi.
J’étais hyper motivée pendant les deux premières étapes, parce qu’il était question de creuser, de trouver sa différenciation et de construire son offre.
L’étape de la communication a été un peu plus difficile pour moi.
Par exemple, pour écrire mes articles de blog, il a fallu que je me bouscule. Ça m'a pris énormément de temps. Parce que ça ne m’intéressait pas, tout simplement. Quand je dis que je suis entière !
“Moi d’abord” est un programme tourné développement personnel et en même temps business, et ça c’est hyper rare. Par contre, je pense qu’il n’est vraiment pas fait pour tout le monde, parce qu’il est dense et demande beaucoup d’implication. Alors si tu ne sais pas t’autodiscipliner, tu vas en chier !
Tout prenait sens d’un coup. La manière dont je faisais les choses, mon style graphique, la façon dont je voulais vivre mon entrepreneuriat.
Ce que je voulais : travailler avec des entrepreneurs qui en veulent, le genre de mecs qui croient profondément en leur projet et qui n’arrêteront pas avant d'atteindre le sommet.
C’était comme une évidence. C’était tout le sens que je cherchais à donner à mon métier.
Je ne me vois pas comme un simple prestataire, c’est comme si j’intégrais l’équipe de mes clients et j’accorde une grande importance au fait d’avoir une posture de conseil.
Ça va bien au-delà du dessin et de l’identité visuelle. On va au fond des choses, on creuse pour trouver ce qui fait leur singularité et sur quoi ils devraient axer leur business.
Je mets un point d’honneur à allier vision créative et vision business, parce qu’il ne faut pas oublier que le but de tout ça c’est de faire de l’argent.
Tout est lié. Mon offre concrétise qui je suis et ce qui est important à mes yeux.
Au-delà de l’accompagnement, c’est aussi la concrétisation de tout ce que j’ai appris en 6 ans dans la création de marques et dans mon parcours entrepreneurial.
J’ai pensé mon offre comme un accompagnement sur-mesure et main dans la main avec mes clients.
Le but de mon offre est de propulser la marque et le business d’entrepreneurs (TRÈS) ambitieux, grâce à un système visuel intense.
On travaille ensemble sur leur positionnement lors d’un workshop, puis je leur construis un système visuel qui claque.
Actuellement, j’accompagne justement plusieurs entrepreneurs qui ont validé leur product market fit dans la création de leur identité de marque.
Peu de gens le savent, mais pour une marque puissante, il faut associer deux piliers. Sans l’un ou l’autre, ça ne fonctionne pas, un peu comme pour une fécondation, s'il manque l’ovule ou le spermatozoïde, ça ne fonctionne pas !
J’ai toujours aimé l’idée qu’une identité visuelle est un langage propre à une boîte, alors j’accorde vraiment beaucoup d'importance à créer des identités comme de véritables langages graphiques, des systèmes qui vont envahir tous les supports de com’.
On ne va pas utiliser l’identité visuelle de manière isolée par petites touches, on va vraiment créer une cohérence d’ensemble qui va permettre à la puissance de l’identité visuelle de se révéler et d’impacter le reste. Une vraie identité de marque. Une claque visuelle.
Mon travail sur mon positionnement m’a apporté un cadre et une direction claire à suivre dans toutes mes actions de communication.
Ça m'a permis de gagner en confiance et d’assumer clairement ma différence.
Avant, pour moi, la prospection, ça rimait avec “quémander”, je me sentais intrusive. Et il faut dire que j’ai mon petit égo, donc je ne me sentais pas du tout à l’aise avec cette idée.
J’ai toujours détesté la prospection. Ce que je voulais, c’est que les clients viennent et comprennent d’eux-mêmes que je pouvais les aider et leur apporter beaucoup.
Avant le programme, je communiquais déjà beaucoup sur LinkedIn pour que les clients viennent tout seul, mais je pense que le programme a changé ma vision de la prospection. Maintenant, je suis plus à l’écoute. Mon but lors d’un call, c’est une prise de conscience du prospect et c’est pas grave si je ne vends pas.
Mon premier client sur mon offre fertile a été l’agence d’architecture de luxe MERSI.
J’avais posté un message sur LinkedIn pour trouver un client pilote et ils sont venus à moi parce qu'ils ont changé de concept et de positionnement 4x en 1 an et demi.
Ils avaient vraiment du mal à mettre des mots sur ce qu’ils faisaient et avaient besoin de monter en gamme, parce que malgré leur investissement, ils ne touchaient pas encore la clientèle qu’ils visaient.
La collab’ s’est super bien passée et même si elle est finie, on est toujours en contact et je suis leur avancée avec attention.
Le projet d'identité de marque a beaucoup plu et a été publié sur plusieurs médias spécialisés en branding.
Depuis, ils savent dans quelle direction aller et communiquent beaucoup mieux parce que leur business leur ressemble. Ils touchent plus de clients-cibles et ont pu monter en gamme sereinement.
Tous les jours, j’aide des entrepreneurs et des porteurs de projet qui visent la réussite high level à propulser leur business grâce à une identité de marque intense.
La vie est courte et chacun devrait pouvoir vivre sans regret et disposer de son temps comme il le souhaite.
Pour moi, c’est important que chaque entrepreneur puisse devenir maître de sa vie et laisser une trace remarquable de son passage.
Aujourd’hui, je suis plus sereine et surtout totalement alignée avec moi-même.
Je sais dans quelle direction aller parce que j’ai les bonnes bases. Se connaître et se comprendre est indispensable quand on veut entreprendre et surtout que ça marche.
J’ai doublé mon CA — avant même la fin du programme Moi d'abord, mon offre fertile avait déjà généré un CA de 25K€ ! — et je prends en moyenne un projet par mois. Je trouve principalement mes clients sur LinkedIn, mais j’ai fait appel à une agence de SEO pour avoir plusieurs canaux d’acquisitions et j’espère encore doubler mon CA l’année prochaine.
J’ai tiré une leçon bénéfique de chaque galère. J’ai toujours été bien entourée et encouragée, que ce soit par mon mari, ma famille ou encore mes potes, même si parfois ils avaient un peu peur pour moi. On peut dire que je suis chanceuse de ce côté-là.
L’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde et surtout c’est moins safe qu’un CDI. Mais si certains se reconnaissent dans mon parcours, alors je leur dirais de foncer et de ne pas avoir peur. Avec un peu d’autodiscipline, le programme d'accompagnement "Moi d'abord" peut faire des miracles.
Cette décision de me faire accompagner a été une des meilleures de mon parcours entrepreneurial. Parfois il faut savoir investir sur soi-même.
Idéalement, j’aimerais par la suite démocratiser la pratique du branding au sein de la communauté entrepreneuriale, en mettant en place plusieurs formations et ateliers en ligne pour les entrepreneurs qui démarrent.
Plonge dans l’univers de Morgane…
Son site internet :
www.clacyourbrand.com
Son offre fertile : Level-up your brand
Retrouve aussi Morgane sur :
Linkedin : @morgane-tubiana-identite-marque
Instagram : @clacyourbrand
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Julie ? Le pep's et la gentillesse à l'état pur !
Il y'a les gentils tout en douceur, calmes, posés… Et puis il y'a Julie. Cette fille est une tornade de gentillesse, enrobée de good vibes et de pep's, de quoi donner le smile même aux plus grincheux !
Mais les grincheux ne font pas partie du monde de Julie, car dans son univers, il n'y a que des super-héros, comme elle !
Je lui laisse la parole, elle te racontera ça tellement mieux que moi !
PAR JULIE LIBRALATO
Je me plaisais plutôt bien dans ce statut d’ailleurs. Je profitais de la sécurité financière, tout en conservant le lien social. En plus, j’étais assez libre dans mon travail.
Mais je suis aussi une personne touche à tout, curieuse, qui s'auto-forme beaucoup.
Alors après quelques années, j’ai commencé à m’ennuyer dans mon poste qui n’était pas spécialement valorisé, et qui n’avait plus assez de sens pour moi.
D'ailleurs, je me souviens avoir confié pendant mon dernier entretien individuel que je voulais être plus utile au monde. ;))
C’est comme ça que j’ai commencé à travailler en parallèle du salariat pour mes proches.
À la base, je ne suis pas issue des métiers de l’art et du graphisme, mais de la communication et du marketing. Donc au départ, j’ai évidemment souffert d’un gros syndrome de l’imposteur !
Mais le COVID et surtout le confinement m’ont fait réfléchir sur l’importance et la place de ma vie de famille. Et j’ai aussi pris conscience de ma maturité autant d’un point de vue personnel que professionnel.
Et c’est un mélange de tout ça qui m’a convaincue de me lancer !
Pour assurer ma sécurité financière, j’ai pris tous les contrats qui passaient. J’ai eu du mal à faire basculer mon état d’esprit de celui de salariée à celui de chef d’entreprise. C’est un vrai cap psychologique à passer.
Et puis, j’ai toujours eu tendance à accorder (trop) facilement ma confiance, ce qui m’a valu quelques délicates expériences avec des mauvais payeurs.
Ça m’a appris que l’on peut être sympa tout en restant vigilante dans sa relation client. Maintenant, je demande systématiquement un acompte. Et si je ne le sens pas, je me permets de refuser des clients.
Et oui, qui aiderait les héros du quotidien à se rendre visibles si je fermais boutique à cause d’un manque de revenu ? 😉
La réalité du statut m’a sauté aux yeux. Il fallait tout assumer : le fun et le moins fun, être responsable et organisée.
Par chance, je ne suis pas de celles qui restent dans leur coin même en étant freelance. Je suis hyper sociable. J’aime travailler en groupe et me déplacer chez le client ou en coworking par exemple.
Alors j'ai intégré le groupe Facebook de Marlène juste un peu avant l’arrêt de mon salariat. Je cherchais un appui, du soutien entre graphistes, des partages d'expérience et de l’entraide. Je savais que j’en aurais besoin en me lançant à 100% en freelance. Et j’y ai trouvé tout ça !
Quand j’ai découvert l’offre de positionnement fertile de Marlène, ça m’a totalement parlé.
Je savais bien qu’il y avait quelque chose au fond de moi qui était enfoui et qui ne demandait qu’à s’exprimer ! Les fameuses questions : Pourquoi suis-je sur cette terre ? Qui suis-je réellement au fond ? Qu'est-ce que j’aime profondément faire ?
Mais, peu de temps après avoir découvert l’existence du programme Moi d’abord, j’ai appris ma 2e grossesse. Alors, j’ai rangé cette idée d’accompagnement dans un tiroir de ma tête. Ce n’était pas le moment.
Sans surprise, l’arrivée d’un deuxième enfant a freiné mes projets de développement d'activité. Avec le recul, je dirais que c’était un mal pour un bien (la vie est bien faite), parce qu’ainsi j’ai eu le temps de me lancer tranquillement, et de prendre conscience que j'avais vraiment besoin de donner du sens à ma vie professionnelle. Mes années de salariat routinières m’avaient perdue !
À la fin de mon congé maternité, j'ai rouvert le tiroir dans ma tête, et j’ai enfin commencé le programme de Marlène !
J’ai pris le programme dans une période de ma vie qui était déjà chargée. À 34 ans, avec deux enfants en bas âge (je venais d’accoucher de mon 2e enfant et le premier avait seulement 2 ans), en plein confinement COVID, avec la crèche fermée, mon travail ... et mon travail de développement !
Je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour réussir et gagner ma vie en tant que freelance. Et quitte à bosser pour moi, autant faire quelque chose que j'aime et qui me motive… en gagnant bien ma vie bien sûr !
Et puis, j’écoute aussi beaucoup mon intuition. Et elle me disait de foncer.
Je savais que le programme aurait les réponses à mes profondes interrogations, et que Marlène m'accompagnerait dans ce grand défi : celui de mon avenir (oui je l’ai pris très au sérieux ! :))
Celui de me trouver professionnellement pour me retrouver personnellement.
Alors j’ai entamé le programme dans un élan de motivation et d'optimisme. J’en attendais beaucoup, car déjà, c’est un investissement, et parce que je misais la réussite de mon projet dessus. Si mon projet de freelancing devait marcher, ce serait forcément grâce à ça. Sinon, c’est que le statut d’indépendant n'était pas fait pour moi.
Grâce à la première étape du programme, l’introspection, je me suis découverte (et j’ai découvert en même temps l’importance du développement personnel) ! Finalement, je trouve que c'est presque l'aspect le plus important : savoir qui on est, ce que l’on aime faire et ce dont on a besoin pour être heureux.
“Tout part de toi” dixit Marlène. Et c’est vrai !
Ça avait l’air simple, et pourtant… Il fallait avoir les bons outils, et être orientée pour savoir se poser les bonnes questions. Surtout prendre le temps d’ y réfléchir, chose que l’on ne prend plus le temps de faire dans notre société où tout va trop vite !
Le regard extérieur de Marlène a été un réel atout, car elle est super humaine et aussi très bonne conseillère. Sa vision globale de nos métiers de par son expérience représente un réel atout pour nous.
Cette période a été vraiment intense, mais nécessaire pour mon évolution professionnelle.
Grâce à ce travail d’introspection, j’ai pu découvrir et assumer certains aspects de ma personnalité. Je me suis rendu compte qu’en plus de mes compétences professionnelles, mes compétences personnelles pouvaient être très utiles à mes clients : comme l’altruisme avec le coaching, l'esprit de synthèse, la force de caractère, l'intuition…
Dès la fin de l’étape 1 du programme, j’ai su qui j’étais, ce que je voulais faire, et avec qui je voulais travailler.
La révélation de mon MOI m’a explosé aux yeux !
Je voulais être un super-héros !
Je suis comme ça, je suis une "gentille", j’aime aider, être utile et bousculer.
Je voulais aider les autres, et particulièrement ceux qui contribuent par leur activité à changer ce monde, et à rendre les gens heureux.
Naturellement, j’aspirais à travailler avec des personnes qui partagent ma vision.
J’ai également compris une chose primordiale dans la création de mes futures offres : ce qui pour moi était à la base un désavantage — le fait de ne pas être une graphiste “pure souche” — s’avérait être en fait ma SUPER FORCE ! Je suis en premier lieu une Resp' Communication avec 10 ans d'expérience... et c'est sur cette particularité que je peux m’appuyer pour me démarquer et apporter une réelle valeur ajoutée à mes clients.
La suite a été plus difficile, car j’avais très peu de temps à consacrer au programme à ce moment-là.
En parallèle, j’assurais le travail pour faire rentrer le salaire, et avec le COVID, je gérais les enfants en plus !...
L’avantage, c’est que ça m’a permis de prendre du recul et de refroidir un peu mon cerveau qui partait dans tous les sens, pour finalement y voir plus clair dans la recherche de mon positionnement. Quand je l’ai enfin trouvé, je me suis rendu compte qu’il avait toujours été là, mais que je n’arrivais pas à le rendre concret.
Un peu comme ce truc au bout de la langue que l’on n’arrive pas à sortir.
Je savais à présent ce que je voulais faire et pourquoi. Même s’il m’a fallu un peu de temps pour l’assumer, c’était comme une évidence, un mélange de recentrage, de confiance et d’inspiration.
J’ai réuni ma personnalité, et mon panel de compétences, j’ai secoué (comme dans un shaker pour créer un super cocktail !!) et j’ai créé mes "Offres POWER*" !
*POWER pour : le pouvoir de la communication (mais tu avais saisi, hein 😇)
👉 Elles allient le graphisme, le conseil, et la formation
À travers ce positionnement, c’est ma mission, mon objectif de vie qui s’exprime. J'aime me lever le matin en étant « pressée d’aller travailler ».
Mais c’est quoi cette mission ?
⚡️J'aide les "héros du quotidien" (les entreprises/activités engagées pour un monde meilleur) à réussir leur lancement/développement grâce au pouvoir de la communication
Mon offre fertile, ou plutôt mes offres, viennent toutes d’un même constat : les “petites entreprises” manquent cruellement d’accompagnement et d’informations concernant leur communication. Elles n’ont souvent ni “chargé de comm”, ni le budget pour déléguer.
Il existe bien des groupements d’entreprises, mais ils mettent souvent l’accent sur le côté financier, commercial ou juridique, et pas sur le côté communication. Du coup les entreprises restent avec leurs problématiques :
Comment je crée mon image ? Comment je me rends visible ?
Parce que c’est bien beau d’avoir les meilleurs produits du monde, la prestation la plus complète, ultra adaptée à sa cible, mais si vous êtes invisible, incompris ou moche (oui, oui !) vous n’attirerez pas beaucoup de clients, et vous aurez du mal à développer votre activité… et ça c’est tellement dommage !
C’est pour leur éviter cette situation que j’ai créé ces offres !
🦸🏻♀️ 𝗠𝗘𝗦 𝟯 𝗢𝗙𝗙𝗥𝗘𝗦 "𝗣𝗢𝗪𝗘𝗥"
faire appel au pouvoir de la communication pour réussir dans son activité !
La particularité de ces offres, c’est qu’elles allient le graphisme avec toutes les prestations d’un chargé de com’ (un accompagnement stratégique, des conseils, un audit et de la formation) et ont pour objectif d’aider mes clients à chaque étape de la vie de leur entreprise : pour son lancement, pour la développer ou pour lui donner un coup de boost !
⚡️ Le 𝗣𝗢𝗪𝗘𝗥 𝗦𝗧𝗔𝗥𝗧 : Tu veux lancer ton activité ?
Prestation complète où j’allie l’accompagnement, la stratégie et le graphisme pour mettre en place la communication de mon client et réussir son lancement !
⚡️ Le 𝗣𝗢𝗪𝗘𝗥 𝗨𝗣 : Tu veux développer ton activité ?
Prestation complète où j’allie mes 2 pouvoirs : la Communication 360° et le graphisme pour remanier toute la communication de mes clients et gagner en puissance pour réussir leur développement.
⚡️ Le 𝗣𝗢𝗪𝗘𝗥 𝗕𝗢𝗢𝗦𝗧 : Tu as besoin d'être éclairé ?
Audit complet ou simple consultation, selon le besoin de mon client.
Mes offres sont à présent construites, mais je sais qu’avec le temps et l’expérience client, elles s’amélioreront encore.
Ma première testeuse m’a laissé un témoignage tellement émouvant qu’il a justifié à lui seul tous mes efforts. En le lisant je me suis dit : oui, c’est sûr, c’est ça que je veux faire !
Ma cliente test, c’est DIAAAANE de Au Clair de ma bulle. Elle est tellement sympa et généreuse ! Elle crée des cosmétiques bio et haut de gamme dans ma région de manière artisanale.
Je crois qu’elle a d’abord été séduite par ma personnalité et ma passion. Et elle s’est laissée convaincre pour être ma testeuse. Décision qu’elle n’a pas regrettée. J’ai hâte de voir les premiers retours qu’elle va avoir suite à l’offre POWER UP 😉
C’est aujourd’hui beaucoup plus facile de parler de mon activité.
Il y a de la passion dans ma voix et mes interlocuteurs le ressentent. J’ai également plus d’inspiration pour créer mon contenu et parler à ma cible.
Je n’ai pas eu à beaucoup changer mon identité visuelle, car tout était déjà là (comme quoi…). J’ai juste fait des modifications de contenu et de tonalité, pour que mon univers de “héros” ressorte bien, et qu’elle reste fidèle à ma personnalité.
Enfin, j’ai aussi plus de confiance quand il s’agit de me vendre.
D’ailleurs, je ne vends plus, je propose de faire un investissement… pour leur avenir 🙂
Ce qui était le plus difficile avant, c’était de vendre la même prestation que tout le monde. Finalement pourquoi on me choisirait moi plutôt que Bibi qui a 10 ans d'expérience et qui est suivi par 3000 personnes ?
Quand on ne sait pas pourquoi on travaille et à qui on s’adresse, et bien on a ni l’inspiration pour communiquer, ni le courage pour prospecter.
En plus, l’aspect commercial n’a jamais été mon truc. J’ai toujours tendance à être trop gentille, et à me vendre presque gratuitement…
Aujourd’hui, la vente et l’achat ne sont plus des gros mots. Et je suis beaucoup plus à l’aise avec le démarchage et l’annonce du prix. J’assume mon discours et j'ai confiance en mes compétences.
Être sûre que ce que l'on propose à son client est vraiment utile pour lui et nécessaire à son développement, ça change toute la démarche. J’ai presque envie de leur dire d’investir dans mon offre, car c’est “d’utilité publique” ^^.
Maintenant que ce gros boulot de positionnement est fait, c’est facile pour moi d’en parler, car je maîtrise mon sujet, tout est calé dans ma tête et aligné avec qui je suis.
Niveau stratégie, j’applique exactement ce que je conseille à mes clients : communiquer sur mon entreprise avec ma personnalité affirmée, en prenant du plaisir surtout !
Je fais même un peu de promotion pure pour mes offres, mais je mets surtout en avant leur utilité grâce à des expériences clients, des témoignages, des citations… et je suis généreuse en conseils et infos.
Je commence aussi à faire des rencontres et des ateliers découverte. Mon côté sociable me permet de parler de mes offres assez naturellement.
Maintenant, j’attends d'acquérir une certaine notoriété et que le bouche-à-oreille fasse effet. En parallèle, je construis la version Formation du POWER START pour aider toujours + de monde :).
Je n’en suis qu’au début donc je ne gagne pas encore des millions, mais j’y compte bien ! Et surtout : je suis sereine.
Par la suite, j’aimerais animer et vivre des formations de groupe (en présentiel ou en ligne) pour me dégager du temps. Et mettre l’accent sur mon côté super-héros à moi : proposer des crowdfunding pour financer un lancement d'activité à impact positif, m’investir plus dans l’associatif, mettre en avant et informer sur des causes et actions à impact positif.
Je recommande à tous les créa et communicants, paumés, généralistes ou en début d’activité d’investir dans le programme Moi d'abord de Marlène pour avoir les bases qui vont leur permettre de réussir ce qu’il font de mieux !
… et de gagner leur vie avec.
Plonge dans l’univers de Julie…
Son site internet :
www.juma-communication.fr
Ses « Super-Offres » :
www.juma-communication.fr/#services
Retrouve aussi Julie sur :
Instagram : @juma.communication
Linkedin : @julie-libralato-graphiste
Facebook : @JUMAcommunication
Tu es créa freelance : graphiste, webdesigner, photographe, illustrateur… ?
Construis-toi aussi ton positionnement fertile !
Découvre mon programme & mes autres offres !
Retrouve-moi sur :
Linkedin : @marlene-fv
J'aime tellement le travail de Mathilda !
Ses photos sont époustouflantes, ses identités visuelles sont fabuleuses… Pas étonnant qu'elle se révèle auprès d'entreprises prestigieuses !
Prestige, certes, mais avec une démarche qui bouscule l'élitisme : pas question de réserver son talent uniquement aux "grands" !
Elle a accepté de nous partager les coulisses de son aventure freelance : ses victoires, évidemment, mais aussi les difficultés qu'elle a rencontrées. Je te laisse découvrir…
PAR MATHILDA PERROT
Ça a commencé par les témoignages des freelances qui venaient raconter leur expérience lorsque j’étais en BTS. Je pensais juste que ce n’était pas possible tout de suite (Parce que : Comment on fait ? Comment ça se passe ? Je n’ai pas de réseau, je ne connais rien à l’entrepreneuriat…), mais je savais que ce mode de vie était ce qui me correspondrait le mieux.
Finalement, mon lancement en indépendant s'est fait sur un “coup de chance”, un peu par hasard… et beaucoup plus tôt que je ne l’avais imaginé.
En passant des entretiens d’embauche pour être DA en agence de pub à la fin de mes études, je me suis créé un statut freelance “en attendant”, juste pour pouvoir faire quelques missions le temps de trouver le fameux “Saint-Graal CDI”.
À ce moment-là, je venais d’arriver sur Lyon, je ne connaissais personne. Alors, j’ai fait la touriste en postant énormément de photos sur Instagram et en me faisant inviter à des soirées. C’est comme ça que j’ai rencontré pas mal de gens.
De fil en aiguille, on m’a proposé des missions en photo et en DA. Je me suis retrouvée noyée sous le travail, mais ma vie était plus épanouissante que jamais ! C’est là que j’ai pris LA décision : je fais définitivement une croix sur ce fameux CDI qui ne m’a de toute façon jamais plus motivée que ça.
J’ai eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment. Ce qui fait que j’ai eu pas mal de travail et que j’ai fait un chiffre d’affaires très satisfaisant pour une première année. D’autant plus en tenant compte du fait que je n’y connaissais rien, que j’ai démarré sans site, ni stratégie marketing, ni aucune compétence commerciale !
Je ne comprenais vraiment pas pourquoi on disait qu’être freelance c’était difficile ; pour moi, tout était venu si facilement !
Puis la seconde année est arrivée, et là, j’ai compris.
J’attendais que les choses se passent, mais les clients ne venaient plus aussi facilement. J’ai commencé à me poser des questions : “Ah mince, mais qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Comment je vais trouver des clients ?”
Clairement cette période n’a pas été facile. J’étais bien engagée sur ce lifestyle-là et pour moi c’était hors de question de chercher un CDI. J’ai même eu une proposition spontanée que j’ai refusée.
Ma mère était tellement flippée que, lorsqu’on m’a proposé ce CDI, j’ai attendu 6 mois avant de lui dire ! Sans ça, je suis sûre qu’elle m’aurait poussée à accepter.
Pour moi, c’était très clair : je préférais galérer financièrement, mais avoir une vie qui m’épanouisse, plutôt que d’avoir de l’argent, mais être déprimée au quotidien.
De toute façon, j’ai toujours su bien gérer mon argent, donc même en période creuse je m’en sortais sans que ça change grand-chose par rapport à mes années d’étudiante.
Au cours de ces premières années, ma situation a parfois créé des frictions : mes amis, qui gagnaient plus d’argent que moi avec leur CDI, ne comprenaient pas pourquoi je ne pouvais pas “me faire plaisir” comme eux. Ou encore d’autres qui croyaient que parce que j’étais freelance, j’étais toujours disponible, quel que soit le jour, quelle que soit l’heure.
Heureusement, dès le début j’ai eu le soutien de quelques amis freelances, puis au fil des ans j’en ai rencontré de plus en plus. J’ai maintenant un réseau dingue de gens avec un mindset de fou, ça motive d’autant plus pour atteindre ses objectifs !
Avec le recul, je crois que je n’ai jamais trop écouté les autres, pour moi c’était certain que ce mode de vie était pour moi et que je ne le changerais pour rien au monde. Même si ces années étaient difficiles.
À cette période-là, je cherchais des réponses à mes questions sans vraiment savoir où les trouver.
C’est seulement à la fin de la troisième année que j’ai suivi une première formation générale pour freelances dans le but de commencer un travail sur le positionnement, le statut, les offres, la relation client, la négociation… ça m’a fait un bien fou !
Mais un an après : rebelote !
Ça m’avait apporté du réseau et un bon coup de boost, mais je sentais que ce n’était pas encore assez poussé : je ne savais toujours pas explicitement dire ce que je faisais, je ne me sentais pas à l’aise avec mon discours à propos de mon activité… bref, ce n’était toujours pas clair.
Après quatre ans d’activité, je constatais que :
BREF… J’avais besoin de dissiper le flou et je savais que tout remettre à plat, et me positionner pour de vrai pouvait tout changer. Je voulais être à l’aise avec mon activité, et attirer mes vrais clients de rêve.
C’est alors que j'ai découvert l’approche de Marlène Ferrero-Varsino via une amie graphiste, Justine Chaudron, qui m’a chanté ses louanges maintes fois. J’ai pu suivre sa transformation ainsi que celle d’Anne-Sophie Benoît, photographe. J’ai vu leurs discours évoluer sur leurs sites : le avant/après était plus que flagrant. Moi aussi je voulais faire ça !
Puisque jusque-là, j’avais commencé de défricher, mais que je sentais que ce n'était pas abouti, je me suis dit : “j’ai vraiment besoin de poser les bases et d’être au clair avec mon activité, mes offres et mes services”.
Go ! J’ai rejoint le programme MOI D’ABORD de Marlène : moi aussi j’allais enfin avoir un discours qui me correspond et qui me place en tant qu’experte auprès de mes clients.
… et l’approche de “positionnement fertile” de Marlène a apporté une nouvelle dimension.
J’avais été aidée/accompagnée avant lors d’autres formations ou coachings et on me disait toujours qu’il fallait que je me spécialise, que je fasse un choix, que je devais faire soit de la photo, soit du graphisme. Ou faire les deux, mais dans ce cas ne faire que du culinaire…
Ça sonnait faux pour moi. Je sentais que ce n’était pas aligné avec mes envies, je ne voulais pas me restreindre et ne pas me sentir épanouie juste parce que “c’est ce qui marche et c’est ce qu’il faut faire”.
Donc “partir de moi” et de mes envies pour construire mon positionnement me semblait être la base logique. J’allais pouvoir faire décoller mon activité et avoir de vrais clients qualifiés, qui viennent pour moi et mon expertise.
J’ai poncé la première étape du programme en deux semaines ! J’étais à fond, j’avais envie que ça avance.
Je me suis retrouvée confrontée à des difficultés, des doutes, un confinement aussi. Parfois j’étais découragée, ensuite je me remotivais, je me remettais à fond dedans.
Il faut dire que j’ai été mauvaise élève : au lieu de me concentrer sur une offre principale, j’ai plus ou moins tâtonné sur mes trois offres en même temps. En commençant par l’une, puis allant sur une autre, puis une autre, puis en revenant sur la première, etc. Mes trois idées d’offres se complètent très bien et j’étais bien incapable de faire un choix en me dirigeant sur une seule d’entre elles.
Ce que je pressentais à propos de mon activité — sans que ce ne soit encore évident ni vraiment clair — s’est confirmé lors de l’accompagnement avec Marlène.
Je permets à mes clients de passer au niveau supérieur, et d’asseoir leur crédibilité auprès de leur clientèle en travaillant leur brand design et leurs photos afin de révéler leur excellence & le meilleur de leurs produits.
Tout ça en me basant sur la technique du storytelling (que j’appelle storytelling visuel dans mon cas) afin de construire des images pleines de sens, alignées avec leur histoire et leurs valeurs, et qui génèrent des émotions, permettant de se projeter dans l’expérience qu’ils souhaitent faire vivre à leur clientèle.
Ça a été un long travail, pas facile à faire, je n’aurais jamais imaginé que ça demande autant d’énergie, mais je suis fière aujourd’hui d’avoir pris le temps de bien faire les choses. Plus d’un an et demi après avoir débuté le programme, et plus de 6 mois après l’avoir terminé, je me sens toujours autant alignée et en phase avec mon positionnement.
Je sais que c’est un travail en constante évolution et j’ai établi de bonnes bases pour faire évoluer tout ça sur quelque chose d’encore mieux.
Si quelqu’un aujourd’hui me disait pouvoir mettre en place un positionnement en trois semaines, j’aurais de gros doutes concernant le résultat.
Je me sens soulagée : ma fameuse “spécialisation”, je l’ai trouvée. Sans faire une croix sur un outil (choix entre photo et graphisme) ni sur la diversité des domaines dans lesquels je veux travailler (en me limitant uniquement au culinaire, par exemple).
Pendant le programme, j’ai créé 3 offres.
Celle qui me parlait le plus de base était celle que j’avais au final déjà vendue à mes clients sans le savoir : faire un rebranding complet de leur marque/établissement avec identité visuelle + photos afin de leur permettre d’augmenter leurs prix grâce à une image de marque d’excellence.
J’ai ensuite switché sur une offre encore plus premium, destinée à ceux qui sont déjà au plus haut (restos, hôtels étoilés, marques de luxe…) et leur permettre d’aller encore plus loin dans l’expérience client à travers des photos pleines de sens et remplies d’émotions.
Lors de mes rencontres avec ma cible pour construire mes offres, j’ai été confrontée à de plus petites structures qui mentionnaient ne pas avoir de vraie solution pour avoir des photos de qualité, car c’était soit trop cher, soit pas qualitatif. C’est là que j’ai réfléchi à comment faire pour les aider à résoudre ce problème.
L’idée, c’était de rendre accessible des shootings photo à des petites entreprises familiales, artisans, créateurs. En leur montrant qu’avoir des photos de leurs produits de qualité et à leur image, ce n’est pas réservé qu’aux grands, qu’ils peuvent aussi être crédibles auprès de leur clientèle et revendiquer le meilleur de leur savoir-faire.
J’ai pour cela conçu une offre clé en main pour laquelle je monte mon studio à domicile, j’ai optimisé à fond mon process, et conçu différents packs en fonction des besoins (photos e-commerce, photos pour réseaux sociaux, photos de type campagne publicitaire) : chacun peut choisir la formule qui lui convient.
En ouvrant une session chaque mois avec 4 places sur la même journée et en automatisant l’administratif, j’optimise mon temps, ce qui me permet de faire bénéficier mes clients de la meilleure qualité pour le meilleur tarif… tout en gardant tout de même une touche de personnalisation grâce à un appel avant le shooting afin de se rencontrer et de valider ensemble la prestation.
C’est même elle qui me l’a inspirée en fait. En me partageant ses problématiques, elle m’a poussée à vouloir trouver une solution pour elle et pour tous les autres dans sa situation.
Quand je lui ai proposé de faire partie de la session test, elle a tout de suite répondu présente. C’est aujourd’hui ma meilleure ambassadrice pour cette offre 🙂
Ce qui est génial avec mon positionnement fertile, c’est que je peux tout faire, tout en étant crédible et professionnelle. J’ai enfin mon fil rouge qui me permet de résumer ce que je fais pour mes clients en quelques mots : J’aide mes clients à monter en gamme, via le brand design & la photographie. J’en fais des outils.
Et je sais que je peux l’appliquer autant pour aider les petites entreprises en lancement que celles qui sont déjà au plus haut niveau d’excellence.
Je me sens complètement alignée, tout est plus simple, je sais beaucoup mieux comment parler de moi et de mon activité, comment décrire mes services.
Je n’ai plus besoin de “choisir” entre différents types de prestations, différents types de clientèle. Mon offre fertile me crée une mission récurrente — et m’assure un “salaire” chaque mois en travaillant seulement deux jours ! —, tout en apportant enfin une solution pour les petites entreprises qui n’auront plus rien à envier aux grosses marques 🙂
Peu de temps après m’être lancée, je m’étais créé un premier site internet et une première identité visuelle. Cela faisait 5 ans que je les utilisais, mais en travaillant mon positionnement, je ne les ai plus trouvés en adéquation avec ce que je voulais dégager désormais. J’avais pourtant des compliments sur mon site de l’époque, mais je ne le trouvais plus aussi bien. Il était “propre”, mais fade, vide de sens ; il ne faisait pas la différence.
J’ai revu toute mon identité visuelle, tout mon discours, et tout mon site. J’avais besoin que mon positionnement se reflète à l’extérieur, qu’on comprenne ce que je fais et à qui je m’adresse juste en voyant mon logo, mes couleurs, mon site, et mes supports de communication. J’avais envie que via mon identité visuelle on puisse identifier immédiatement que je ne laisse rien au hasard, que chaque détail compte : de la quête de sens et d’histoire, à la conception et création des supports, aux finitions des textures et types de papiers.
Mais on le sait en tant que DA, designers graphiques, pas facile d’avoir le recul nécessaire pour se créer sa propre identité visuelle. Et ne parlons pas du perfectionnisme… Comment savoir s’arrêter, comment savoir que c’est THE ONE ?
J’ai fait durer ce travail de réflexion sur plus de 6 mois. J’avais mes valeurs, j’avais quelques idées, mais rien ne me convenait vraiment. Puis au fur et à mesure que j’avançais mon positionnement, les choses se débloquaient pour mon identité visuelle aussi.
Je laissais parfois passer 2 mois sans y toucher puis j’y revenais, jusqu’à ce que la création se fasse de manière assez spontanée. Comme si j’avais intégré pleinement les valeurs que j’avais dégagées. Jusqu’à obtenir l’effet waouh que j’attendais. L’effet waouh que je voulais aussi que ça provoque chez mes clients, chez mes prospects.
J’en suis arrivée à ce point où je me suis dit “OK, c’est ça.”
Mon identité visuelle est terminée depuis maintenant 1 an, et rien n’a changé. J’en suis toujours aussi fière. Les retours que j’en ai sont parfaitement en adéquation avec ce que je voulais dégager. Je reçois même parfois de nouvelles interprétations de mon logo auxquelles je n’avais pas pensé, et qui vont pourtant dans le sens de tout ce que je voulais transmettre.
On peut donc dire que c’est une grosse victoire. Et je suis vraiment super fière de ce travail, qui est aujourd’hui un gros atout dans mon processus de prospection et de vente.
Les personnes que j’attire sont beaucoup plus en accord avec mes valeurs, beaucoup plus qualifiées. Je vois que mes mots font vraiment la différence. Non seulement mon positionnement me différencie, mais en plus il donne envie d’en savoir plus et de travailler avec moi.
Je vois que mes prospects comprennent beaucoup mieux ma démarche de travail, et ils crédibilisent bien plus mon travail. J’ai commencé à travailler avec des clients d’excellence (hôtels 5 étoiles…) et cela contribue à l’image de prestige que je veux véhiculer. Je n’ai plus à justifier mes prix ni mon travail, et ça c’est juste le bonheur 🙂
Maintenant, j’aimerais développer des projets à plus grande envergure avec des grosses marques, en travaillant avec une équipe (DA, styliste, strat marketing, assistant photo…) pour faire des images encore plus dingues, et développer ça à l’international.
Pour conclure, je dirais que cette aventure n’a pas été de tout repos, mais c’était passionnant. Et vraiment, ça en valait le coup. Je vois une différence tellement énorme aujourd’hui, et ça m’a permis de décrocher mon premier client de prestige qui est ultra récurrent aujourd’hui, et qui grâce à son image m’apporte d’autres clients sans que je n’aie rien à faire.
…
Ce programme a tout changé pour moi.
Je l’ai déjà recommandé à de nombreux amis qui étaient dans une impasse professionnellement, et je continue de le faire. 🙂
Plonge dans l’univers de Mathilda…
Son site internet :
https://mathildaperrot.com
Son offre « Révélation » :
https://mathildaperrot.com/wp-content/uploads/2021/03/mathilda-perrot-offre-revelation.pdf
Retrouve aussi Mathilda sur :
Instagram : @mathilda.perrot
Linkedin : @mathildaperrot
Tu es créa freelance : graphiste, webdesigner, photographe, illustrateur… ?
Construis-toi aussi ton positionnement fertile !
Découvre mon programme & mes autres offres !
Retrouve-moi sur :
Linkedin : @marlene-fv
Laurence Hubert est une de mes toutes premières clientes (peut-être même la première !).
Son parcours est inspirant, je prends beaucoup de plaisir à l’accompagner. Chaque nouvelle action affirme et renforce encore davantage son positionnement… Et on se laisse bluffer à chaque fois par ses résultats qui dépassent toutes nos attentes !
Elle a accepté de nous partager son histoire d'entrepreneure, indissociable de son histoire-tout-court. Je te laisse découvrir…
PAR LAURENCE HUBERT
Par une belle journée de décembre, à 12h37, sans le savoir j’allais poser l’acte fondateur de mon activité d’indépendante, alors que j’étais en train d'accoucher de mon premier enfant au milieu du salon.
Cela faisait des années que je me voilais la face. J’étais graphiste salariée depuis 6 ans chez l’annonceur doublé d’une casquette “agence de design” intégrée à cette entreprise. La subordination ce n’était pas pour moi, j’avais trop envie de prendre part aux projets dès l'émergence de l’idée, d’accompagner l’idée jusqu’à sa mise au monde, dans sa forme, mais aussi dans le fond.
Au lieu de cela, on me donnait “des données d’entrée” souvent incomplètes, pas toujours claires et on comptait sur ma collègue et moi pour clarifier le message et tout faire passer au forceps, poussées au perfectionnisme à outrance, pour un résultat lisse et aseptisé.
Cerise sur le gâteau : je ne pouvais jamais présenter “mon bébé” au dirigeant qui prenait toutes les décisions. Cela devait toujours passer par ma “responsable”. D’ailleurs, pourquoi se voir enlever cette étape cruciale par sa hiérarchie alors que la responsabilité était largement partagée. Bref...
Pas étonnant que j’ai choisi d’accoucher à la maison…
Car je suis aujourd’hui convaincue que c’est bien en prenant la décision d’avoir un accouchement à domicile, sécurisé et aligné avec mes convictions que ma posture entrepreneuriale est née.
Pour la première fois, j’avais la possibilité de prendre les choses en main, de rester souveraine, de me faire confiance, pour l’acte qui était à la fois le plus beau et le plus grave de toute ma vie.
Et pourtant, ce choix coulait de source pour moi.
Pas un instant je n’ai douté pendant mes 9 mois de grossesse, car je me sentais alignée. Et pour donner toutes ces chances à ce projet de réussir, je me suis entourée de Mathilde, une sage-femme libérale pour m’accompagner tout ce temps, mais aussi pour sécuriser l’accouchement.
Depuis ce merveilleux jour de décembre, à 12h37, j’ai réussi à prendre ma vie en main… en donnant la vie.
Un bébé, un congé parental d’un an, une rupture conventionnelle, et quatre mois plus tard, toujours guidée par cet alignement intérieur, je signais mon contrat CAPE chez Elycoop la coopérative d’activité et d’emploi qui soutient et sécurise mon activité, tout en valorisant la coopération, la mutualisation des moyens et la gouvernance démocratique.
Je ne pouvais pas rêver mieux !
Trois jours après mon arrivée chez Elycoop, une première commande tombait !
Tu y crois à ça ? Moi pas, à l’époque.
Puis le bouche-à-oreille s’est mis en marche. Trois mois plus tard, on me commandait un site web, puis un second.
Le rêve je te dis !
En parallèle, je commençais à m'interroger sur la casquette de directrice artistique parce que j’avais envie de montrer que je ne faisais pas seulement de l’éxé et je voulais toucher “de plus gros prospects”.
Comme si l’univers m’avait entendu, j’ai fait la connaissance d’une certaine Marlène sur un groupe Facebook dédié à l’entrepreneuriat. Je me suis dit “trop chouette enfin quelqu’un qui me comprend”. On a très vite sympathisé, avant de découvrir qu’on habitait à quelques kilomètres l’une de l’autre !!!! C’est fou non ? Coïncidence ? Je ne crois pas…
J’ai tout de suite compris que Marlène était la perle que je cherchais pour m’accompagner ! Quelle joie !
Alors qu’elle venait tout juste de se mettre à son compte, nous avons travaillé pendant plusieurs séances sur mon positionnement, sur ma posture, sur mes offres. J’avais l’impression de faire des pas de géant en quelques mois.
Et puis les commandes se sont enchaînées, identités visuelles, site web, supports de com… chaque mois un nouveau client arrivait.
Et comme si ça ne suffisait pas, tous ces clients me correspondaient ! Je me régalais. Il faut dire que grâce à l’accompagnement de Marlène, j'osais afficher mes convictions à travers mon positionnement : j’aime profondément les différences. Après tout, c’est pour ça que je suis devenue entrepreneure, pour faire rayonner la différence.
Dans la rue, dans mes lectures, dans mes centres d’intérêt, j’ai toujours été irrésistiblement attirée par ce qui est différent de “la norme”. Parce que la différence, c’est beau ! Et si je porte cette vision à travers mon métier, c’est parce que j’ai grandi en ayant la place de celle qui fait le lien entre deux visions du monde et j’ai eu très tôt la conviction que les divergences, les différences peuvent co-exister voire même, peuvent coopérer ! Aujourd’hui encore, en tant que mère, je continue à faire le lien entre la culture de mon mari et la mienne. Faire rayonner et rendre visible la richesse de l’être humain, c’est ce qui me fait lever le matin !
Et tout ça “transpirait” naturellement à travers mon activité, car j’avais choisi de devenir entrepreneure justement pour aligner toutes mes convictions avec mon métier.
Cette période dorée pendant laquelle de nouveaux clients arrivaient tous seuls a duré comme ça pendant un an et demi, mes chiffres étaient assez bons pour que je j'envisage sérieusement de passer entrepreneure salariée dès janvier 2019.
Ça y est j’allais enfin lâcher mes indemnités chômage et vivre à 100% de mon activité.
C’était un jeudi soir, mon mari reçut l’appel que nous redoutions.
Notre nièce de tout juste 18 ans venait de décéder.
Sa greffe de cœur et de poumons avait pourtant réussi, elle respirait, elle marchait, elle se remettait, mais une infection due à des complications l’avait terrassée en quelques jours.
Elle vivait en France, mais était née à Madagascar, tout comme mon mari qui l’a vu grandir. Alors c’est à Madagascar qu’elle allait désormais reposer.
Sans hésiter, nous avons cherché le premier avion en partance pour l’île rouge afin d’accompagner notre famille dans cette épreuve.
Nous avons récupéré nos passeports le mardi suivant faits en urgence grâce à la générosité de secrétaires de mairie compatissantes, bouclé nos valises et sauté dans l’avion l’après-midi même.
Nous étions en état de choc.
Le choc du décès. Le choc du départ précipité. Le choc d’un si grand voyage que je n'avais encore jamais fait. Le choc de tout laisser en plan, y compris mon développement d'activité et mes clients.
Un mois à vivre au jour le jour, avec si peu en poche et pourtant comblés. Un mois à côtoyer l’extrême pauvreté et une intense joie de vivre en même temps. Un mois à méditer sur la place d’Avoir et Être dans notre vie.
Un mois à ne plus facturer, à ne plus m’occuper de ma visibilité aussi.
Le retour fut rude.
Nous avons ressenti un besoin urgent de nous alléger et de retourner à l’essentiel. Alors nous avons quitté notre Triplex pour vivre dans une Tiny House.
Les remises en question se sont enchaînées, mais pas les devis.
Après un printemps un peu trop calme et mon passage en entrepreneure salariée repoussé à février, quelques commandes sont enfin tombées au début de l’été, puis… plus rien.
Forte de mes deux ans d’entrepreneuriat, je me suis dit « ça va arriver puisque c’est toujours venu tout seul ».
Et bah non.
J’entamais le dernier trimestre 2019 avec une visibilité sur mes chiffres réduite à zéro. Ma coopérative commençait à m’alerter : si je ne facturais rien d’ici décembre, c’était fini.
Alors j’ai appelé Marlène à l’aide (un peu tard).
Marlène c’est un peu ma sage-femme. Elle m’accompagne depuis le début de mon activité, elle n’a jamais pris ma tension, mais elle les a souvent soulagées. Elle m’a vu « grandir » et elle m’a aidé à donner naissance à celle que je suis aujourd’hui.
Alors en quelques séances, en urgence, nous avons réfléchi à une solution qui me donne la visibilité qu’il me manquait sur mes chiffres. Et c’est comme ça qu’on a posé les fondations de mon offre fertile !
Objectif : sécuriser mon activité en misant sur ce qui me fait vibrer, dans une offre connectée avec les problématiques de mes clients (pour de vrai, sans suppositions hasardeuses ni avatars idéalisés).
Jusqu’ici, je faisais autant d’identité visuelle que de sites web. Mais les dernières offres, qui n’avaient pas abouti alors que tous mes voyants habituels (qui indiquent que le prospect allait signer) étaient verts, concernaient les sites web.
Les personnes qui viennent me voir pour un site web sont en général des personnes qui seraient prêtes à le faire elles-mêmes, mais qui ne sont pas à l’aise avec la technique et le design et qui préfèrent le confier à un pro. Sauf que le budget site web venait concurrencer d’autres investissements stratégiques comme des formations ou des certifications.
Alors la solution est apparue dans toute cette équation : ce qui me fait vibrer c’est l’accompagnement + rendre les gens autonomes + la mise en image d’une identité (peu importe le support d’ailleurs) = cette nouvelle offre pourrait donc être à mi-chemin entre de la formation, l’accompagnement et la création.
Un concentré de MOI, à un prix accessible pour cette catégorie de clients potentiels avec une vraie valeur ajoutée à la clé : un site qui leur ressemble et dont ils sont fiers, avec en prime un accompagnement sur le contenu, sur leur identité entrepreneuriale et sur leur visibilité.
Le tout en étant soulagé de l’aspect technique et du design, en économisant du temps (celui qu’ils auraient perdu à faire leur site tout seul) et de l’argent (celui qu’ils auraient dépensé pour du sur-mesure).
Grâce à mon programme Kit Visibilité, j’utilisais mon savoir-faire de graphiste et mon goût de l’accompagnement pour aider les entreprises qui mettent du sens dans leurs actions, qui veulent faire bouger le monde vers plus de coopération, d’humanité, de conscience et d’écologie. J’étais convaincue (et je le suis encore !) qu’en rendant visibles ces entreprises engagées, je participais à ce changement de société dont nous avons tant besoin.
J’organisais alors une session test fin 2019 avec une poignée de participants.
Test concluant !
Mes participants étaient ravis de leur parcours à travers le programme. Leur site leur plaisait, ils se sentaient plus confiants dans leur discours et leur posture vis-à-vis de la visibilité.
En plus, je me suis découvert une vraie passion pour la transmission et l’animation d’un programme.
Mission accomplie !
J’ai eu droit aux félicitations de mon IP (Interlocutrice Privilégiée qui me suit à ma coopérative) pour ce rebond in extremis et pour avoir investi dans l’accompagnement de Marlène qui portait déjà ses fruits.
J’enchaînais alors avec une session plein tarif au printemps.
Ce fut un flop.
Zéro participant.
Normal, je n’avais pas communiqué. J’avais trop peur que ça marche ! Le syndrome de l’imposteur avait resurgi et je m’étais auto-sabotée.
Allez, cette fois je ne me laisserais pas avoir. Je programmais une session pour le mois de mai, avec un max de communication en amont.
Et c’est là que le COVID-19 est arrivé en France.
Contre toute attente, alors que les incertitudes n’avaient jamais autant plané au-dessus des entreprises, la session de mai s’est remplie à plus de 100% (13 participants au lieu de 10) à plein tarif alors que nous étions en plein déconfinement.
Un vrai succès !
Coup de chance tu me diras ?
Pas si sûre…
Quatre mois plus tard, la session de septembre s’est remplie elle aussi en quelques semaines.
Il faut dire que nous avions fait une séance de préparation au succès juste avant l’été, avec Marlène.
Le programme Kit Visibilité a largement tenu sa promesse : rien que les deux premières sessions m’ont donné 6 mois de visibilité sur mes chiffres, et grâce à la troisième, j’ai pu m’augmenter.
Cerise sur le gâteau : mes participants sont ravis, ils se sentent plus confiants, ils osent davantage se rendre visibles en utilisant leur site comme tremplin, et ils parlent de mon programme avec des étoiles dans les yeux.
Certains veulent même aller plus loin en me confiant la création de leur logo ou la rédaction de leur contenu.
Et quelle diversité de profils : ils sont coach, formateurs, consultant de l’ESS, consultants en Ressources Humaines, avocats, mais aussi créateurs textiles, thérapeutes, accompagnants en parentalité, geek accompagnants au numérique, consultants en transformation d’entreprise, et même graphistes, consultant en communication, facilitateurs graphiques...
C’est une offre plus que fertile que je continue d’améliorer au fur et à mesure des sessions.
Au-delà des chiffres, travailler sur ce programme a donné naissance à une nouvelle version de moi-même qui était déjà là, en gestation, plus audacieuse, avec une recherche de plus de maîtrise et en même temps confiante dans mon intuition, mon rythme, mon « flow ».
Pour faire rayonner les entreprises qui mettent du sens dans leurs actions, j’utilise tout simplement l’être humain que je suis (la boucle est bouclée).
Tous les domaines sur lesquels j’avance personnellement viennent nourrir mes compétences professionnelles et ma posture. Et inversement. Ma posture d’entrepreneur m’aide à relever les défis de ma vie perso. Chaque pas que je fais du côté pro ou perso fait que mon activité se développe à mon image.
Et parfois ça vient appuyer là où ça fait mal.
Alors je travaille sur ce qui me touche en me demandant pourquoi ça me touche, pourquoi ça bloque, et je prends cela comme un tremplin pour avancer. Plutôt que de voir la difficulté comme un obstacle, je m'efforce de la voir comme une opportunité. Et c’est aussi cette prise de recul que je permets à mes clients en utilisant le travail autour de leur image et de leur identité.
Aujourd’hui, je suis en mouvement, en mutation. Je m’affranchis peu à peu de la dénomination de « graphiste » pour aller vers un métier qui n’existe pas, mais dont je peux vivre sereinement, et qui est aligné avec qui je suis.
…
Et dire que tout a commencé par un simple choix.
Celui de croire en moi, agenouillée au milieu de mon salon.
Plonge dans l’univers de Laurence…
Son site internet :
https ://laurence-hubert.com/
Son « Kit Visibilité » :
https ://laurence-hubert.com/kit-visibilite/
Retrouve aussi Laurence sur :
Instagram : @laurencehubert.graphiste
Linkedin : @laurence-hubert-graphiste
Facebook : Groupe privé pour les entrepreneurs qui veulent faire rayonner leur différence
Tu es créa freelance : graphiste, webdesigner, photographe, illustrateur… ?
Construis-toi aussi ton positionnement fertile !
Découvre mon programme & mes autres offres !
Retrouve-moi sur :
Linkedin : @marlene-fv
Justine, c'est la détermination incarnée !
Je suis tellement heureuse que Justine ait accepté de partager son parcours dans cet article.
Pour avoir vu de l'intérieur les difficultés personnelles qu'elle a rencontrées sur la période où je l'accompagnais, je peux te dire c'est vraiment sa force et son courage qui la caractérisent.
Elle est impressionnante, elle ne lâche rien !
J'espère que son récit te boostera pour tenir bon toi aussi, pendant les inévitables tempêtes que vit tout graphiste qui se lance en freelance 🙂
PAR JUSTINE CHAUDRON
À la fin de mes études de communication visuelle, j’ai tout naturellement cherché un CDI, comme on me l’avait conseillé. C’est comme ça que je suis devenue directrice artistique en agence de communication.
Au début, je ne me posais pas trop de questions. En agence, ça se passait plutôt comme on nous l’avait appris à l’école : on te donne un brief, tu fais plusieurs propositions, et le client choisit. Basta !
Autant dire que ne pas avoir de contact direct avec le client, voire parfois ne pas être prise au sérieux parce que j’étais jeune (et une femme), m’était insupportable.
Heureusement, cette expérience a aussi été très enrichissante. Mais au bout de 2 ans, je commençais déjà à m’ennuyer.
À ce moment-là, la seule solution que j'envisageais était de changer d’agence de communication.
Seulement voilà, le marché était saturé, et je ne trouvais pas de poste intéressant.
En juillet 2017, sans même avoir trouvé un autre poste, j’ai quitté mon CDI pour devenir freelance sous la marque "Giustina" (en l'honneur de ma grand-mère italienne qui m'appelait comme ça quand j'étais enfant).
C’est comme ça que je me suis lancée dans l’aventure, peut-être même la plus grande aventure de toute ma vie entière : créer mon propre job !
Pour travailler à mon rythme, sur des projets qui me passionnent, avec des clients complètement alignés avec mes valeurs.
Une nouvelle vie s’ouvrait à moi. J’allais pouvoir réaliser des projets beaucoup plus variés et créatifs. Enfin, ça, c’est que je croyais...
Déjà, rien que d’annoncer à mes parents que j’avais décidé de quitter mon CDI pour devenir freelance, n’a pas été si simple. Ils étaient réticents : pour eux, la stabilité et même le “bonheur” ne peuvent s’exprimer qu’à travers un CDI.
Puis, ils ont fini par me soutenir, comme toujours ! (Et ça, même s’ils n’ont jamais bien compris ce que je faisais.^^)
Il faut dire que je n'ai pas été élevée dans une famille d’entrepreneurs, alors je suis un peu l’extraterrestre ! Heureusement, mon ambition et ma détermination font sens, mes proches voient que ce n’est pas juste une lubie, alors ils me soutiennent.
Malheureusement, pendant les premières années, j’ai incarné mon propre frein. Je me suis battue contre certains de mes démons, contre mes peurs et mon perfectionnisme exacerbé. À cause de tout ça, il m’a fallu 3 ans pour vivre de mon activité. Avant, j’étais quasi incapable d’en parler.
Clairement, j’avais honte ! Je souffrais tellement de la fameuse question “alors t’as des clients ?”. Ou pire encore : “Tu vis de ton activité ? Tu ne penses pas que tu devrais redevenir salariée ?”.
Franchement, ça me faisait mal !
Je n’étais pas du tout fière de moi, je voyais les autres y arriver et pas moi.
Pendant très longtemps, je me suis demandé ce qui clochait chez moi...
Paradoxalement, certains côtés de la vie de freelance m'épanouissaient. J’aime être dans ma bulle, et j’adore travailler chez moi (même si je n’ai pas un bureau de luxe !).
Mais j’ai aussi très vite compris l’importance de m’entourer de personnes qui comprennent mon quotidien.
Alors petit à petit, en grande partie grâce à des groupes Facebook, je me suis créé un réseau d’entrepreneurs. Certains sont même devenus de très bons amis qui me soutiennent encore au quotidien.
Trouver des personnes qui me ressemblent, s’entraider, se soutenir, partager, brainstormer… ça me semble essentiel pour avancer.
Au fond de moi, je savais que ce n’était pas en retournant vers le salariat que je m’épanouirai. J’étais bien décidée à construire ma vie de rêve. Et ça, qu’importe le temps que ça me prendrait.
Alors oui, certains pourraient penser que j’ai perdu beaucoup de temps, mais je ne le regrette pas et je ne changerai mon parcours pour rien au monde.
Car sans être passée par toutes ses étapes, je ne serais pas aussi forte que je le suis aujourd’hui.
Les difficultés nous construisent et nous rendent meilleurs, j’en suis convaincue.
Comme souvent quand on démarre en freelance, mes premiers contrats étaient de la sous-traitance pour des agences de communication.
Très vite, je me suis rendu compte que ça ne me convenait pas. Il y avait trop d’intermédiaires entre le client et moi. Les projets n’avaient pas grand sens à mes yeux. Et je subissais des horaires de salariés… Quel intérêt ?!
Pourtant, quand j’ai définitivement pris la décision de ne plus travailler pour des agences de communication, j’étais un peu perdue.
En me renseignant sur internet, j’ai compris qu’il fallait que je me spécialise. Sauf que je ne savais pas comment m’y prendre.
Trouver une cible niche ?
“Ok, mais comment ?!”
Et là, la magie du destin m’a fait rencontrer Marlène Ferrero-Varsino, celle que j’ai très vite surnommée “ma marraine la fée”.
[Enfin, quand je parle de “destin”, ce destin s’appelle en réalité Lucie ! Je ne la remercierai jamais assez ! C’est elle qui, dans une réponse à l’un de mes posts sur un groupe Facebook à propos de la spécialisation, m’a conseillé de me faire aider par Marlène.]
J’étais tellement déterminée à y arriver, que même si investir sur moi et me faire accompagner me faisait peur, j’ai très vite fait confiance à Marlène. Et j’ai bien fait !
Dans mes souvenirs, quand j’ai décidé de commencer l’accompagnement, j’ai ressenti à la fois de la peur et de la libération.
La peur de me lancer dans quelque chose de nouveau, et que je ne maîtrisais pas du tout. Et la libération de trouver une personne de confiance qui allait pouvoir me guider pas à pas.
Je suis de nature prudente avec mes finances, alors consacrer une somme conséquente — qui plus est pour travailler sur moi ! — a été une décision mûrement réfléchie. Mais, c’était une telle opportunité de faire les choses bien dès le début, que j’ai préféré ne pas attendre pour me faire accompagner.
Je prenais tellement les choses à cœur, que lorsque l’une de mes hypothèses tombait à l’eau, j’étais extrêmement déçue. Et chaque remise en question était prétexte à me dévaloriser : “je suis nulle", voilà ce que je me disais dans ces moments-là. Dur, dur !
Mais j’ai trouvé en Marlène, une vraie épaule, un vrai soutien. Je l’avoue, il est arrivé que je pleure lors de certaines séances tellement tout ce travail me bouleversait, mais ce n’était que pour le mieux. Elle m’a aidée à démêler les nœuds que j’avais dans la tête, avec franchise et bienveillance. Elle n'est pas là pour nous caresser dans le sens du poil. Si on est sur la mauvaise voie, elle nous le dit. Et pour ça, un énorme MERCI !
En tant que cliente de la première heure, j’ai eu le privilège de participer à la mise en place de son programme d’accompagnement au positionnement fertile (“Moi d’abord”, dont la première version s’appelait à l’époque “Top départ !” 😉). J’ai adoré ! Je trouve ce programme vraiment remarquable et inspirant.
Le fait qu’il intègre un workgroup pour se soutenir les uns les autres, et même former un trinôme : c’est juste une pépite !!! …Tellement, que je m’en suis même inspirée pour créer à mon tour mon propre programme en ligne.
Lorsque mon positionnement s’est affirmé, je ne me sentais plus en phase avec les processus traditionnels des graphistes.
Je sentais que ce qu’on m’avait appris ne collait ni avec les besoins de ma cible, ni avec ma vision du monde. C’est comme cela que j’en suis arrivée à sortir des sentiers battus en créant deux offres à mon image. Non pas juste pour être différente, mais bien pour apporter du sens à mon activité.
Avec tout ce travail sur mon positionnement, chaque facette de mon entreprise a pris sens. Mon positionnement évolue avec moi. Ses fondations sont solides et je sais que lorsque je me sens perdue, je n’ai plus qu’à remettre le nez dedans pour que tout devienne limpide.
Grâce à lui, je peux même communiquer en toute authenticité sans crainte ! Quel luxe, non ?
C’est pour moi bien plus qu’un joli nom. Je ne me sens plus particulièrement graphiste, directrice artistique ou bien designer. En fait, mon activité, mon savoir-être et mon savoir-faire vont bien plus loin.
J’accompagne les solopreneurs qui ont créé une entreprise à leur image dans la valorisation de leurs différences grâce à la communication visuelle. Et pour ça, j’utilise le fameux mantra de Marlène : tout part de toi ! Car ce qui différencie un entrepreneur c’est sa personne avant tout, alors c’est ce que l’on doit valoriser.
Complètement révoltée par tous les types de discriminations qui existent, je suis plus que convaincue que nous avons tous notre place dans ce monde. Très souvent, en créant son entreprise, on prend au passage sa place, car ça nous offre l’opportunité de faire les choses à notre façon. Nous sommes tous différents et uniques. On a tous notre parcours, notre éducation, notre caractère, notre propre façon de penser !
La différence est une vraie richesse, j'en suis persuadée.
C’est sur ces certitudes que se fonde ma propre activité.
Avant de commencer le programme de positionnement de Marlène, je n’avais ni réseau ni visibilité. Je faisais partie de ces personnes qui ont peur de vendre. Le comble pour un entrepreneur, non ? Vendre, ça signifiait réaliser une prestation, et moi, j’avais très très très peu confiance en moi. Au point de bloquer ma créativité !
Puis, rapidement, j’ai trouvé mon réseau social chouchou : Instagram. Il y a eu des hauts et des bas : développer sa visibilité quand parler de toi et de ce que tu fais n’est pas naturel et que tu as tout le temps peur de déranger... c’est dur !
Heureusement, en 3 ans j’ai bien évolué. Je me réconcilie peu à peu avec la vente et la prospection.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je vends facilement et que parler de mes offres est facile, mais j’en parle avec le cœur, et avec beaucoup moins de pression.
Résultat, j’ai réalisé mes meilleures ventes à mon retour de vacances, sans avoir communiqué depuis 10 jours. Ne serait-ce pas ça l’alignement ?
Toutes les deux partent du même constat : les solopreneurs — cette cible que j’aime tant, qui me permet de ne plus avoir d’intermédiaires et de travailler avec des personnes qui me ressemblent — ont vraiment besoin d’affirmer une image plus pro mais ils ont souvent un budget limité. Au départ, je voyais cela comme un frein, j’ai même failli changer de cible à contrecœur. Puis j’ai décidé de voir les choses autrement pour trouver une solution…
La première solution que j’ai trouvée, c’est de proposer un paiement mensualisé, un peu comme un leasing. Sur le coup, ça me paraissait être une idée de génie. Mais il manquait le lien avec mon expertise et mon positionnement de valorisatrice de différences. Alors, j'ai laissé de côté le projet quelque temps et mis mon activité entre parenthèses.
Puis, pendant le premier confinement, pleine de motivation, j’ai ressorti cette idée du placard, et j’ai pris contact avec une avocate pour vérifier si c’était viable. Je me suis remise en question, encore, et encore, et encore… J’ai amélioré l’idée en l’enrichissant de mon expertise et de mon positionnement, jusqu’à créer non plus une simple offre de création d’identité visuelle, mais bien un accompagnement sur 6 mois. Cette offre, c'était mon premier bébé, elle me faisait complètement rêver !
Mais j’avais besoin de la tester avant de l’approuver. J’ai mis du temps à vendre cette offre et à lui donner vraiment vie. Mais vous savez quoi ? Aujourd’hui, c’est mon offre premium, je l’ai déjà vendue plusieurs fois, et j’ai même augmenté son prix.
Avec mon accompagnement “Ciao l’image d’amateur”, je fais bien plus que de créer un “simple logo”. Je crée l’identité visuelle complète de mes clients en les cernant tellement bien, que je ne propose plus qu’une seule piste créative !
C’est magique !
Mais le vrai plus, ce qui me différencie et assouvit aussi mon besoin d’apporter du sens : c’est que j'accompagne chacun de mes clients dans la bonne utilisation de leur identité visuelle. C’est bien beau d’avoir une belle identité visuelle, mais si tu ne sais pas t’en servir… compliqué d’affirmer ta posture d’expert, n’est-ce pas ?!
Quand mes clients me sollicitent pour cette offre, c’est qu’ils ont déjà une activité solide, qu’ils sont aussi prêts à affirmer encore plus leur expertise et même à devenir une référence dans leur domaine. Je suis très fière de participer à leur réussite.
Amel Rachem est une figure reconnue dans le monde de l’entrepreneuriat, surtout sur Instagram. Quel honneur de travailler pour elle !
[Mais je crois que je n'aurais jamais fait cette première vente sans l’aide de mon amie Bemvinda Khang (alias Limbola sur les réseaux… oui : la talentueuse storyteller). Elle fait partie de ces personnes qui m’ont soutenue dans la construction de mon offre. Elle y croyait tellement qu’elle en a parlé à sa propre cliente, Amel Rachem :-)]
Cette première collaboration avec Amel s’est très bien passée. Mais, je dois l’avouer, mentalement ça n’a pas été aussi facile : j’étais toujours dans le “Est-ce que c’est assez ?”, “Est-ce qu’elle ne va pas être déçue ?”. Classique !
Au final ? J’ai eu le droit au meilleur des compliments lors de la diffusion de sa nouvelle identité visuelle Instagram ! Tout le monde — même ses proches qui la connaissent le mieux ^^ — lui a dit “ton identité visuelle te ressemble vraiment”. N’est-ce pas le plus beau des compliments pour une valorisatrice de différences ?
Quelque chose manquait encore… Mon offre Premium “Ciao l’image d’amateur”, délaissait les entrepreneurs en tout début d’activité, sans budget pour réaliser leur première identité visuelle. Pourtant, le fait de ne pas avoir d’image professionnelle, de ne pas savoir comment créer leurs visuels, quels choix faire, et même de ne pas se penser créatifs, était justement ce qui les bloquait.
J’étais face à des entrepreneurs avec des super projets qui n’osaient pas communiquer, et donc, ne vendaient pas… J’avais envie de leur offrir l’opportunité d’avoir, eux aussi, une image de professionnel.
J’ai créé mon programme en ligne “Hello identité visuelle” spécialement pour les entrepreneurs en tout début d’activité qui n’osent pas communiquer. Une formule qui place l’autonomie, le partage et la transmission au cœur du processus créatif, dans la suite logique des ateliers en présentiel que j’avais animés quelque temps auparavant.
Au début, forcément, j’ai douté. Guider plusieurs entrepreneurs dans la création de leur identité visuelle en toute autonomie était un vrai pari… Un pari réussi !
Oui oui, aussi fou que ça puisse paraître, j’ai appris à des non-graphistes à créer une identité visuelle qui a du sens grâce à des fondations solides, mais aussi à savoir l’appliquer sur tous leurs supports. Voir que ça fonctionnait m’a rendue si fière !
Mes doutes des débuts se sont envolés. Pour preuve, en septembre 2021 j’ai lancé une nouvelle version de ce programme, avec encore plus de valeur !
2021 a été un vrai tremplin dans mon activité.
Mon positionnement est clairement au cœur de mon discours et ça, qu’importe le support. C’est mon fil conducteur, ma base solide. Et mon mindset a tellement évolué qu’il se pourrait que mon identité visuelle se fasse une petite beauté fin 2021 ! 🤫
Il est grand temps que je montre aux yeux de tous qui je suis vraiment ! Ce que je montre déjà à travers mon discours, je veux aussi le valoriser par l’image.
Je n’ai plus peur ! Aujourd’hui, j’affirme publiquement mes pensées. J’exerce une activité à mon image, en totale harmonie avec ma vision et mes valeurs. Et j’en vis ! 🎉
Je ne compte pas m’arrêter là : en cette fin d’année 2021, après le lancement de la 2e version de mon programme en ligne “Hello identité visuelle” et en plus de la refonte de ma propre identité visuelle, je vais aussi me concentrer sur l’acquisition de nouveaux clients en accompagnement premium.
J’ai plein d’idées ! D’ailleurs, en voilà une en exclusivité : en 2022, je vais créer mon podcast pour casser tous les “on dit” sur la communication et l’entrepreneuriat ! Seule, mais aussi avec des invités. Ce projet de podcast me démange depuis des mois, mais ce n’était pas une priorité. Je sens maintenant que c’est le bon moment 🙂
Je me sens aussi prête à augmenter mes prix à nouveau, car je me rends compte de toute la valeur que j’apporte à mes clients.
L’unique mot d’ordre de 2022 sera “plaisir” ! Je compte rester concentrée sur une chose : avoir un business au service de ma vie !
Aujourd’hui, le mantra de Marlène “tout part de soi” est tellement ancré en moi que je ne cesse de le transmettre à mon tour. À mes clients, à mon audience et même à mes proches !
Réfléchir à soi-même avant même de penser à son projet professionnel, c’est la garantie d’avoir une entreprise alignée avec la personne que l’on est vraiment. C’est grâce à ça que notre business peut participer à notre bonheur !
Comment vivre dans le plaisir si on ne sait pas nous-mêmes ce qui nous fait plaisir ?
Bref, je deviens clairement ton porte-parole Marlène et moi aussi je ne cesserai de le dire… TOUT PART DE TOI !
J’aimerais dire à tous ceux qui peuvent rencontrer des questionnements similaires aux miens : Tu peux y arriver seul. Mais en te faisant accompagner tu t’assures de faire les choses étape par étape, en te posant les bonnes questions, au bon moment.
Sans Marlène je n’en serais pas là aujourd’hui. Moi, jeune femme aux moyens modestes, sans réseau, avec très peu de confiance en elle, je l’ai fait ! Alors toi aussi ose, crois en toi, investis sur toi !
Travailler avec Marlène ce n’est pas utiliser une baguette magique, c’est y mettre toutes tes tripes pour construire une activité à ton image. Ça prend du temps, c’est parfois difficile, je ne vais pas te mentir. Mais une fois que tu y es arrivé, comment te dire… à toi la belle vie !!!!
Désolée pour tous ces points d’exclamation, mais ça vient du cœur !
Plonge dans l’univers de Justine…
Son site internet :
giustina.fr
Son offre « Ciao l'image d'amateur » :
giustina.fr/ciao-image-amateur
Son offre « Hello identité visuelle » :
giustina.fr/hello-identite-visuelle
Retrouve aussi Justine sur Instagram :
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Retrouve-moi sur :
Linkedin : @marlene-fv