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Positionnement fertile : Mathilde Frachon

Mathilde Frachon, “Keep it Simple”
…ou la com’ minimaliste

Mathilde Frachon


Avec Mathilde, tout est possible, il n'y a plus de frontière, plus de limite… Parce qu'elle vit intensément et simplement à fois.

Sa vision ? Une communication minimaliste pour transmettre l'essentiel.

C'est comme ça qu'elle a créé son activité : au service de sa vie ! (… et ça, ça n'a pas de prix)

Je lui laisse la parole pour qu'elle te partage son parcours et qu'elle raconte comment elle a fait de la simplicité la clé de sa réussite !


Retour à l’essentiel pour une com’ minimaliste

PAR MATHILDE FRACHON

Je me souviens quand j’étais en école d’art, j’écoutais attentivement tous les cours d’éco gestion parce que je savais que pour devenir freelance un jour, je devrais y passer. Mais c’était tellement compliqué et ennuyant, que je n’arrivais pas à m’impliquer. 

Alors même si l'idée de devenir freelance était une évidence, je ne me sentais pas d’assumer la charge administrative qui allait avec. J'étais littéralement freinée par ma phobie administrative.

Et quand j’y réfléchis aujourd’hui, je crois que c’était une excuse. Car le vrai problème était plutôt au niveau de ma confiance en moi et ma légitimité. Car peu importe si c’était pour trouver un emploi salarié ou créer une entreprise, je ne me sentais pas à la hauteur. 

La seule chose que je savais c’est que je ne voulais pas me retrouver “bloquée” dans un emploi. Je voulais découvrir le monde, grandir et m’enrichir de nouvelles rencontres. 

C’est comme ça que je me suis d’abord retrouvée salariée, serveuse, au Danemark.

Tout a (re)commencé au Danemark 

C’est à travers une expérience de vie de 5 ans au Danemark que l’idée d’entreprendre est (re)venue. Et à force de discuter avec les clients — dont de nombreux entrepreneurs — dans le restaurant français où je bossais comme serveuse, j'ai découvert leurs besoins : un site web, une com’ qui tient la route, des réseaux sociaux, etc… 

J’ai donc commencé le freelancing au Danemark, en parallèle de mes études, avec des petits contrats ici et là et au fur et mesure de mes rencontres. Et là-bas, contrairement à la France, c’est très facile administrativement parlant. 

Mathilde Frachon - Danemark

Démarcher des clients : un stress énorme

Les vagues de prospection

Au tout début du freelancing, j’ai fait face à un vrai blocage : le démarchage.

Pourtant, j’ai tout essayé : les salons de networking, les afterworks etc… Rien à faire : je détestais toujours cet aspect du business, et ça se ressentait ! 

Finalement, je vendais quand je discutais naturellement de mon métier avec des personnes rencontrées au restaurant. 

Coucou la solitude du freelance

Malheureusement, au Danemark, je n’avais personne à qui parler de mon quotidien et de mes problématiques de freelance. 

Mathilde Frachon - Solitude Freelance

En plus, ma famille ne comprenait pas pourquoi j’avais fait ce choix, au lieu de devenir salariée dans mon secteur d’activité. 

Alors que pour moi, être serveuse était bien plus enrichissant, car j’étais au contact des gens, et j’apprenais à communiquer, à vendre aussi, bien plus que dans un bureau, planquée derrière mon Mac. 

Un stage de création d’entreprise déterminant 

Toujours au Danemark, j’ai eu la chance d’être accompagnée par Günnar (Merci ! 🙏), un coach en création d’entreprise avec une approche bienveillante du marketing.

Mon projet était vraiment à l’inverse de ce qu’on peut proposer de façon classique en formation business : vivre en camion, voyager et travailler comme digital nomade… Je voulais pouvoir travailler max 20h/semaine et SURTOUT PAS m’enfermer avec un business modèle dont je serais l’esclave ni chercher un développement rapide et la croissance à tout prix.

Grâce à Günnar, j’ai cru en mon projet d’une entreprise slow, au service de mes objectifs de vie.

Mais c’est finalement en agence que j’ai décroché une grosse mission freelance 

Cette mission a eu des côtés positifs : j’ai pratiqué le métier que j’aime, et pris confiance en moi en tant que professionnelle (et j’ai enfin pu avoir un retour concret sur mon travail !).

Et des côtés négatifs aussi : c’était un peu du salariat déguisé, et cette situation me frustrait. Parce qu’à travers l’entrepreneuriat, je cherchais plutôt à avoir un pouvoir décisionnel et stratégique, et pas juste à être graphiste.

Mais je tenais bon, car mon cerveau était accaparé par d’autres projets : l’achat d’un camion et mon retour en France, pour la construction de mon projet de vie. 

Je rêvais d’une vie nomade, un mode de vie ouvert vers le monde, riche de rencontres, de découvertes et d’apprentissages en continu. Un retour à l’essentiel, en somme.

Mathilde Frachon, digital nomad

Quand mon projet de vie s’est réalisé, il a libéré de l’espace…

Une fois rentrée en France et mon camion acheté, j’avais beaucoup plus de temps et d’espace dans mon esprit pour me focaliser sur la réalisation de mon projet professionnel.

Je savais que je voulais être libre de travailler en voyageant, alors il était temps pour moi de trouver les réponses à ces questions : comment trouver des clients plus régulièrement — et surtout des clients que j’aime ? 

J’avais beau avoir tout un background en marketing, j’avoue n’avoir ABSOLUMENT PAS pensé appliquer ces connaissances à mon business ! C’est fou quand même ! 3 ans que je faisais des plans de com’ et travaillais sur le client idéal, mais alors pour moi ? Ça ne m’a pas traversé l’esprit ! 

C’est à ce moment-là que je me suis engagée dans le programme pour un positionnement fertile “Moi d’abord” 

J’ai démarré l’accompagnement avec pour objectif d’être cheffe d’entreprise et non graphiste à son compte ! 

J’avais besoin d’un coup de pouce pour m'aider à gagner en estime et en confiance pour lever certains blocages. 

J’ai vécu cet accompagnement au positionnement fertile en mode too schuss

Quand j’ai démarré, je me sentais soulagée et confiante. 

Mon plus gros challenge était de trouver ce que j’avais d’unique à proposer. J’ai donc attaqué l’étape 1 avec une grande excitation et l’envie de lâcher prise. Je savais que si j’étais dans le contrôle, mes blocages m'empêcheraient d’avancer. Je m’en suis donc totalement remise à Marlène et à ses exercices. 

Pendant cette première étape du programme, j’ai vécu 2 gros temps forts : le premier rendez-vous avec Marlène — que j’ai attendu avec impatience ! —, et la découverte de mon pourquoi. 

Ça a fait un énorme “boom” dans ma tête parce que TOUT s’est relié : toute ma vie, toutes mes croyances, toute ma réflexion, ma façon de voir les choses, mon comportement avec les autres, TOUT.

Après avoir terminé l’introspection, le travail s’est corsé lorsqu’il a fallu réfléchir à mon offre. Mais une phrase de Marlène a tout débloqué : “Cherche dans les outils UX que tu as appris.”

J’ai alors repris tous mes cours d’UX et j’ai eu une illumination ! 

J’ai compris plusieurs choses : à quel point je voulais faire de la stratégie. Ce qui me plaisait dans l’UX c’était l’empathie et comment on peut toujours s’adapter aux autres. En fait, c’est ce que j’avais toujours voulu faire ! (Quand j’étais petite, j’étais fascinée par l’ergonomie et passionnée de psychologie.) 

C’est là que j’ai commencé à vraiment me détacher de mon métier et à relier toutes mes compétences à ce que j’aime faire : et en un après-midi le plan de mon offre était créé. 

Pour aller de l'avant il faut prendre du recul, car prendre du recul c'est prendre de l'élan

À partir de là, c’était fluide 

Le reste de l’accompagnement a été assez facile pour moi. Car une fois cette porte ouverte, j’ai vu dans quelle direction aller, et j’ai foncé tout droit.

La dernière partie du programme, c’était justement ce que j’aimais faire dans mon métier : la stratégie, le plan de com, connaître et comprendre ma cible… un vrai régal !
J’ai adoré rencontrer d’autres entrepreneurs pour comprendre leur expérience et co-construire mon offre avec eux.

Et j’ai d’autant plus apprécié le fait que je puisse avoir un retour direct sur ma stratégie et ma recherche ! J’ai un peu de mal à synthétiser et trouver les bons mots parfois alors avoir la possibilité de travailler en étant entourée était un vrai plus ! 

À chaque doute, j’avais Marlène, le Workgroup du programme, et mon quatuor de choc. Avoir la possibilité de prendre du recul sur mon travail et m’offrir d’autres perspectives m’ont vraiment permis d'être encore plus pertinente, efficace et d’ancrer les choses durablement dans mon entreprise. 

Avant même de construire mon offre, j’ai vu la différence dans les échanges avec mes clients et prospects

Quand je parlais de ma vision de la com’ en prenant position sur le marketing, sur ce qui me pesait et sur ma manière de procéder. Quand ils me disaient partager mon ressenti et ma vision, et que je leur expliquais qu’on pouvait faire différemment. 

Ça a été assez incroyable comme boost de confiance ! 

Pour la première fois, j'expérimentais ce que c’était qu'être en phase avec son client idéal. 

Je suis "plus" qu’une graphiste ou une webdesigner…

En redéfinissant les lignes de mon métier, je me suis rendu compte que j’aimais le design pour d’autres raisons, quelque chose de plus profond : le rapport à l’autre. 

Et quand j’ai relié ça à d’autres aspects de ma vie — mon travail de serveuse, mes rêves d’enfant (je voulais être maîtresse !) —, j’ai compris que je pouvais créer une activité qui me ressemblait à 100%. 

Encore un déclic incroyable ! 

J’ai créé “Keep it Simple” à partir de mes cours de marketing et d’UX

Grâce à mes connaissances, j'ai créé un atelier simple, ludique et essentiel, au lieu d’une formation complexe qui perde mes clients dans des détails inutiles. 

Keep it simple — Mathilde frachon

Je pourrais en parler pendant des heures, car la simplicité est pour moi la clé pour communiquer et développer son entreprise sereinement et efficacement. Je pense aussi que si on raisonnait tous comme ça, la communication et le marketing seraient mieux perçus. Bref ça touche beaucoup de sujets importants pour moi… 

… et Keep it Simple est "plus" qu’un atelier

Son objectif ? Construire un fil rouge qui sera la base de la communication et servira de boussole à chaque nouvelle idée, étape ou objectif du développement d’une entreprise. C’est un espace de coworking où j’accompagne mes clientes à poser les bases afin qu’elles puissent communiquer naturellement, simplement et efficacement. 

Mais c’est aussi un outil qu’elles peuvent réutiliser pour créer chaque nouveau support de communication. Une page de vente à écrire, une nouvelle offre ou un nouveau freebie… Elles peuvent reprendre l’atelier, avec pour objectif de communiquer sur ce nouveau produit sans se perdre ni s’éparpiller. Et si elles doutent, je suis toujours là pour les conseiller et leur apporter mon expérience et mon expertise via l’espace de coworking. 

Avant l’accompagnement “Moi d’abord” j’étais terrorisée à l’idée de communiquer sur les réseaux sociaux

Je n’ai pas participé au challenge “créa, mais pas que” alors que j’en avais envie et que j’adorais l’idée. Je ne pensais rien avoir de différent à offrir et j’avais peur de m’exposer au grand public et d’être comparée à d’autres.

J’ai dû travailler mon mindset en profondeur pour lever mes blocages. 

Angoisse réseaux sociaux - mathilde Frachon

Mais grâce à mon positionnement fertile, j’ai dépassé mes peurs

Il a provoqué un nouveau déclic, et j’ai lancé dans la foulée une page Instagram pour parler de Com minimaliste, de slow business, de mon mode de vie nomade… Tout devient tellement fluide quand on prend conscience du message fort qu’on souhaite porter au monde !

Et j’ai reçu tellement de retours positifs et encourageants, que ça m’a poussé à être vraie, à lâcher prise, et à être encore plus tranchée sur la représentation de qui je suis pour affirmer ma singularité.

D’ailleurs, ma première cliente, je l’ai découverte via Instagram

C’est une développeuse web qui vulgarise le code via son compte Instagram. 

Un jour, elle a répondu à une de mes stories, qui parlait de mon offre, car elle était intriguée par le concept. 

Et hop elle est devenue ma cliente test 🙂 J’ai construit le contenu de l’atelier en direct pendant que je l’accompagnais et c’était génial ! Elle a retravaillé tout son discours, et a même décroché un contrat pendant l’accompagnement. 

Aujourd’hui je peux dire que la vente est assez fluide !

Mathilde Frachon : bureau sur la plage

Il m’arrive encore de stresser et de galérer un peu, mais je sais que c’est parce que je démarre et que ma visibilité est encore faible. Je ne veux pas forcer les gens, quand je sens que ce n’est pas le moment. Mais parfois, je pense que ça me porte encore préjudice. 

En 1 an, j’en suis déjà à 9 clientes accompagnées ! 

En septembre, j’ai rempli mes places en une semaine et j'accompagne en ce moment même un groupe de quatre entrepreneures.

Mon positionnement prend racine dans ma vision du monde

Aujourd’hui, ça me semble évident, car je le vis à travers ma vie de nomade minimaliste. Mais en fait, j’ai toujours eu cet état d’esprit. Dans ma vie perso, mais aussi dans mon travail. 

Je ressens régulièrement le besoin de faire une pause et de prendre de la hauteur pour faire le tri et me débarrasser du superflu. Un peu comme si mon esprit était une forêt, et que j’alternais les moments où j’avance sur le chemin, et d’autres où j’observe depuis à la cime d’un arbre. 

Mathilde Frachon

Ma vision de la com’ est identique : prendre le temps de poser pour tisser un fil rouge clair et cohérent entre nous et nos clients. Je crois en l’alternance de moments d’ouverture, de prise de hauteur, d’écoute et d’observation, pour faire le tri, les bons choix et créer le lien.

Je ne crois pas en une communication horizontale, éparpillée sur plusieurs médias. Mais plutôt en une communication minimaliste, avec une intention durable où chaque chose est pensée comme faisant partie d’un tout. C’est pour moi une façon de communiquer qui respecte le rythme du client (puisqu’elle s’oppose au marketing abusif, à la prospection froide ou à l’outbound marketing), respecte notre temps puisqu’elle nous permet de concentrer nos efforts et notre énergie sur les choses essentielles à notre objectif, et respecte notre planète, car elle permet de communiquer en conscience et ne pas surcharger le web d’information. Communiquer moins, mais mieux.

Com' minimaliste : 3 piliers
Communiquer moins mais mieux (surtout mieux)

Je suis complètement en phase avec mon positionnement fertile de communication minimaliste 

Car il fait écho à tout dans mon entreprise : ma façon de voir la com’, ce que je défends, mon engagement, et aussi mon mode de vie slow et simple ! 

Et pour mes clients, le pendant c’est de les amener à se concentrer sur l’essentiel : en s’organisant pour que ça leur prenne moins de temps, tout en étant plus pertinent. 

Aujourd’hui, je me sens bien dans mes baskets

J’adore ce que je fais, et mon atelier ne cesse de grandir. Ce que je pensais être une offre d’appel est en train de devenir beaucoup plus.

J’ai une grande ambition pour cette offre, je suis en train de la développer en evergreen, sans accompagnement, et de repenser un nouveau lead magnet. Mon focus 2023 va aussi être de m’entourer d’autres entrepreneurs en tant qu’intervenants sur des sujets dont je n’ai pas l’expertise… Bref ça murit !

Je manque juste de temps pour développer tout ce que j’imagine ! 

Mathilde Frachon bien dans ses baskets

J’habite dans mon camion, et je vadrouille en même temps 

Donc on peut dire que l’objectif est atteint. 😊 Je vis de mon activité et je prends du temps pour moi et mes voyages de temps en temps (beaucoup de travail lors des lancements de l’atelier entre septembre et février, mais 25 h max par semaine le reste du temps).

J’ai encore beaucoup de choses à faire évoluer pour atteindre mes objectifs financiers et toutes mes ambitions, mais je prends les choses comme elles viennent. Je vois déjà une grande évolution et j’ai encore une belle marge de progression : c’est hyper enthousiasmant !

J’ai plein de projets sur le feu et à venir

Ce printemps j’aimerais enfin créer mon site, et améliorer mon tunnel de vente pour automatiser un peu mieux les choses. En gros passer tout ce que j’ai testé cette première année à l’étape supérieure ! Et puis respirer un peu avant le prochain lancement pour la session automne 2023 !

Je recommande puissance mille l’accompagnement “Moi d’abord” !

C’est très puissant ! 

Avant je me sentais seule avec ma vision d’une com’ plus slow et maintenant elle résonne.

Si j’avais un conseil à donner, c’est de ne pas trop se laisser emporter par le temps et l’éparpillement. Car l’accompagnement est long, et il est facile de se perdre dans ses doutes. 

Il vaut mieux demander de l’aide pour avancer et passer à l’étape suivante sans se bloquer sur un détail. Si ça ne vient pas maintenant, ça viendra plus tard ! 

Et s’accrocher jusqu’à la fin de l’étape 3 parce que le plan de Com c’est tout autant important que la création de l’offre (mais bon vu mon propre positionnement, c’est normal que je conseille ça.) 😉

Pour aller plus loin

Plonge dans l’univers de Mathilde…

Son atelier "Keep it simple" :
www.mathildefrachon.com

Son réseau de prédilection :
Instagram : @mathildefrachondigitaldesign

Retrouve aussi Mathilde sur :

Linkedin : @mathilde-frachon-digital-designer

Tu es créa freelance : graphiste, webdesigner, photographe, illustrateur… ? 

Construis-toi aussi ton positionnement fertile !

Découvre mon programme & mes autres offres !

Retrouve-moi sur :

Linkedin : @marlene-fv

Facebook : Groupe privé bienveillant pour créas freelances

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Hello !
Être indé, c’est une sacrée aventure, n’est-ce pas !

Je suis Marlène Ferrero-Varsino et j’accompagne au quotidien les créas freelances.

Souvent graphistes, webdesigners ou DA, mais aussi illustrateurs, photographes, vidéastes, motion designer, UX/UI designers…

Comme toi sûrement, ils veulent développer leur activité, pour EN VIVRE, avec plaisir et fierté. Je les aide à pérenniser leur activité – grâce à un super positionnement notamment. ^^

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